Ni tout à fait prémonition, ni pressentiment, ni prévision, cette faculté relèverait d’une autre forme encore de divination. Il s’agit d’exprimer de façon intuitive ce qui est encore inconnu. Ce don de connaissance anticipative inonde le domaine de la science-fiction, et bien-sûr certains élans artistiques en sont grandement gorgés.
Alicia Adamerovich à Sans titre (2016) à Paris et à la Galerie Tator à Lyon
Le surréalisme dans l’art américain par Eric de Chassey à La Vieille Charité à Marseille
Anna Zemánková chez christian berst art brut à Paris
Molly A. Greene à la Galerie Julien Cadet à Paris
Psychédélices au Musée international d’arts modestes à Sète
Alejandro Cardenas à la Galerie Almine Rech | Matignon à Paris
Romain Coppin à Bikini à Lyon
Alicia Adamerovich, Staring at the Sun, 120 x 100 cm, oil on canvas, 2021 | Courtoisie de l’artiste, Sans titre (2016) (Paris) et Tator (Lyon), co-production Moly-Sabata (Sablons)