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Archives de Tag: Galerie Buchholz

Voilà une approximation sophistiquée, une petite soupape là où tout demeure verrouillé. Des réglages sont opérés. On évalue avec rigueur l’imprécision. Un trouble subsiste d’ailleurs sur ce que l’expression désigne exactement : plus ou moins, un peu ou beaucoup, dans une certaine mesure, en une faible quantité, environ ou à peu de chose près. On continue à estimer l’ampleur d’un doute.

Henrik Olsesen chez Buchholz à Berlin

We are the weavers, we are the web au CAP Saint-Fons à Saint-Fons

Wolfgang Laib chez Buchmann à Berlin

Lukas Hoffmann pour Les Rencontres d’Arles à Monoprix à Arles

Barbara Kruger à la Neue Nationalgalerie à Berlin

Illusions of Comfort chez Campoli Presti à Paris

Dayanita Singh au Gropius Bau à Berlin

49a7dcd7-f5d3-cef6-274f-1633f64d4e80Nick Mauss, The Waves, 31 x 41 cm, glazed ceramic, 2022 | Courtoisie des artistes et Campoli Presti (Paris), crédit photographique Rebecca Fanuele

Formant une masse indéterminée, les personnes ainsi désignées le sont généralement par une forme acceptable d’arrogance. Elles sont les autres. Elles sont l’humanité en général. Elles sont le poncif, le stéréotype, le cliché. Il s’agit de leur conférer une image. La figuration s’impose. Elle oscille entre le spécifique et le commun, entre la surprise et l’indifférence. Son expression est frontale, forcément sans réserve. Qu’on le veuille ou non, elle est un reflet.

Lina Scheynius à la Galerie Tanja Wagner à Berlin

Anne Ryan à la Ribot Gallery à Milan

On danse ? au Mucem à Marseille

Andy Warhol à la Galerie Buchholz à Berlin

Thomas Schütte par Camille Morineau à la Monnaie de Paris à Paris

Niko Pirosmani par Bice Curiger à la Fondation Vincent van Gogh Arles à Arles

Alec Soth à la Loock Galerie à Berlin

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Lina Scheynius, untitled (diary), 26.75 x 40 cm, fibre-based silver gelatin print, 2014 – Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Tanja Wagner (Berlin)

Elles sonnent le glas. Et déterminent pourtant dans l’histoire du paraître, une foule d’artifices servant à asseoir la prestance. Forcément plurielles, elles affirment la solennité. Qu’elles soient nuptiales ou funèbres, elles s’imposent en cortège. Le faste y est déployé. Majestueusement. Il faut que cela se sache. Il faut que cela se voit. Pour signer la plus incroyable des circonstances.

Fürstenglanz – Die macht der pracht au Belvedere – Winter palace à Vienna

Cindy Sherman à me Collectors room à Berlin

Avedon Warhol à la Gagosian gallery – Britannia st à Londres

Julian Göthe à la Galerie Buchholz à Berlin

Hans op de Beeck à la Galerie Krinzinger à Vienna

Rudolf Stingel à la Galerie Massimo de Carlo – Palazzo Belgioioso à Milan

Thomas Houseago par Le consortium à l’Académie Conti à Vosne-Romanée

thomasThomas Houseago, Figure head I, bronze, 2013 – Courtoisie de l’artiste, crédit photographique André Morin

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