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Archives de Tag: Collège des Bernardins

Projection spatiale. Désir d’anticipation. Réalité prospective. Embarquer vers un horizon temporel frétillant, en s’engageant pour des pronostics encore ouverts. L’à-venir semble poindre au loin. Mystère. Le futurisme reste sans cesse à actualiser. Célébrons le non-identifié.

Tarik Kiswanson par Gaël Charbau au Collège des bernardins à Paris

Mark Geffriaud au Plateau – Frac Ile-de-France à Paris

The Ulm model par Peter Kapos à Raven Row à Londres

Paris par Isabelle Cornaro à la Fondation d’entreprise Ricard à Paris

Paris internationale 2016 au 51 avenue d’iéna à Paris

Faisons de l’inconnu un allié par Lafayette Anticipations à Paris

Jean-Luc Moulène par Sophie Duplaix au Centre Pompidou à Paris

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Tarik Kiswanson, Ongoing reflection – You, me, so many, 2016 – Courtoisie de l’artiste et des galeries Almine Rech et Carlier Gebauer, crédit photographique Voyez-vous

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

D’un écart entre deux localisations, naît un trouble. Et ce n’est pas tant le constat d’une différence, que la circulation organique dans l’espace qu’elle détermine, qui provoque cet étourdissement. Le décalage n’est pas qu’horaire. Temporalité et biologie interne conditionnent le voyage, mais l’acclimatation relève de toute évidence d’autres champs encore. Alors que les comparaisons continuent d’alimenter une animosité répréhensible, il s’agit de trouver un juste rapport dans l’appréciation du lointain sans sacrifier ses propres référents. Et avec l’interdiction d’utiliser le mot exotisme.

Paul Gauguin à la Ordovas gallery à Londres

Pangaea à la Saatchi gallery à Londres

Oscar Murillo à la Galerie Marian Goodman à Paris

Des hommes, des mondes par Alain Berland au Collège des bernardins à Paris

Imagine Brazil par Gunnar B. Kvaran, Hans-Ulrich Obrist & Thierry Raspail au Mac à Lyon

Carne de minha perna par Estelle Nabeyrat à la Galerie Emmanuel Hervé et à La maudite à Paris

Kapwani Kiwanga par Nataša Petrešin-Bachelez au Jeu de Paume à Paris

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Charlotte Moth, – Collection particulière

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Alors que ces belles initiatives font généralement hurler les esprits conservateurs, la production d’œuvres en contexte religieux ou désacralisé devient une formule classique de valorisation du patrimoine chrétien. Désertés par les fidèles-même, ces volumes disponibles s’offrent comme écrin de prestige à des pièces conçues pour l’occasion, précisément. J’emprunte notre intitulé à une manifestation bretonne dont cette confrontation est le principe-même. Et voilà un panorama particulièrement français, répertoire de lieux indéniablement conditionnés par leur voûtes et fantômes lithurgiques. La question du sacré n’est jamais complètement évacuée. Elle ne peut l’être, quoiqu’il en soit.

Clément Rodzielski à la Chapelle du Frac Champagne-Ardenne à Reims

Adel Abdessemed au Musée d’Unterlinden à Colmar

Yan Pei-Ming à la Chapelle de l’oratoire du Musée des Beaux-arts à Nantes

Michel Blazy au Collège des Bernardins à Paris

Soraya Rhofir aux Églises à Chelles

Vincent Lamouroux à l’Abbaye de Maubuisson à Saint-Ouen l’Aumône

L’art dans les chapelles #21 par Emilie Ovaere & Corthay Karim Ghaddab dans le pays de Pontivy

> Jacques Julien, La traversée (détail), 2012 à la Chapelle Locmaria à Séglien –                            Crédit photographique : Stéphane Cuisset

L’esperluette est ce signe typographique hybride que l’on utilise sans en connaître généralement le nom pour affirmer le lien qui unie deux éléments soudainement inséparables. Résultant de la progressive ligature des lettres e et t, notre logogramme & semblerait considéré jusqu’au XIXe siècle comme la vingt-septième composante de l’alphabet mais ne subsiste aujourd’hui dans son usage courant que comme la conjonction de coordination associant deux personnes en un couple qui forme alors une entité propre. Il s’agira pour nous cette semaine de nous pencher sur la création à deux, sur ces binômes qui rythment notre actualité selon diverses notions d’accouplements fertiles que nous parcourrons ici.

Gilbert & George à la Galerie Thaddaeus Ropac à Paris

Gil & Moti à la Galerie Eric Dupont à Paris

Nathalie Brevet & Hughes Rochette au Collège des Bernardins à Paris

Morgane & Salomé à l’Espace Jean-Marie Poirier à Sucy-en Brie

Jérôme le Goff & Delphine Ralin au Loft19 chez Suzanne Tarasiève à Paris

McDermott & McGough à la Galerie Jérôme de Noirmont à Paris

Iris van Dongen & Dionisis Kavallieratos à la Galerie Bugada & Cargnel à Paris

Les trois précédents numéros consacrés à la scène danoise nous ont temporairement éloignés de l’actualité parisienne. Tant mieux. Mais il est temps pour nous de revenir sur un territoire familier, accueillant en ce moment des expositions personnelles d’artistes importants qui participent activement à l’écriture classique de l’histoire de l’art d’aujourd’hui. Cinq hommes, quatre étrangers, trois français, deux femmes, tous sont réunis pour composer cette dernière chronique de l’année 2008.

Sylvie Fleury à la Galerie Thaddaeus Ropac à Paris

Paul-Armand Gette à la Galerie Philippe Chaume à Paris

Valérie Belin à la Galerie Jérôme de Noirmont à Paris

Claudio Parmiggiani au Collège des Bernardins à Paris

Richard Deacon à la Galerie ColletPark à Paris

Daniel Buren au Musée National Picasso à Paris

Glen Baxter à la Galerie Martinethibaultdelachâtre à Paris