Ce n’est pas un échec. Dans le domaine maritime, on peut délibérément vouloir toucher le fond, sans périr pour autant. Lorsque l’opération est involontaire, on parle plutôt d’échouement. Selon les marées, notre manœuvre permet tout simplement de mettre pied à terre, comme il était d’usage durant toute l’Antiquité pour débarquer. L’opération permet d’être quelque part, à un moment donné, en fonction des courants. Un peu plus tard, merci la lune, on se redresse, pour se remettre à flot.
Jean-Charles de Quillacq à Art3 à Valence
Tempêtes et naufrages au Musée de la vie romantique à Paris
Ken Sortais à la Galerie Julien Cadet à Paris
Ellis Island par Eloi Boucher au Musée Juif de Belgique à Bruxelles
Corps à corps par Alexandra Baudelot à l’ancienne Galerie Bernheim-Jeune à Paris
Wolfgang Tillmans à la Galerie Chantal Crousel à Paris
David Posth-Kohler à Doc à Paris
Jean-Charles de Quillacq, Ma sis t’aime reproductive, vue d’exposition à Art3 (Valence) | Courtoisie de l’artiste et de la galerie Marcelle Alix (Paris), crédit photographique Phoebé Meyer