Avant de baptiser un insecte décimant les champs de patates, le terme désigne un soldat antique, littéralement un porteur de lance. Le fantassin sous la virtuosité du sculpteur Polyclète, incarne les canons d’une beauté aboutie, exemple de perfection depuis, alors que le coléoptère est perçu comme un envahisseur opérant d’immenses dégâts en un délai très court, entraînant la famine. Parfois, l’idéal de contentement côtoie la menace triviale en un même endroit. De la vermine au sublime. Ravage.
Pierre Unal-Brunet par l’IAC pour Galeries Nomades au Pic International Cévenol au Chambon-sur-Lignon
Philippe Mayaux à la Galerie Loevenbruck à Paris
dans la tiédeur de la nuit chez Marcelle Alix à Paris
Fabrice Hyber à la Galerie Nathalie Obadia à Paris
Jessica Warboys chez Gaudel de Stampa à Paris
Harmonie chez François Léage à Paris
Lucy Bull à High Art à Arles
Pierre Unal-Brunet, Innsmouth, vue d’exposition au Pic International Cévenol (Le Chambon-sur-Lignon), 2021 | Courtoisie de l’artiste, crédit photographique Blaise Adilon