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Archives de Tag: Timothy Taylor Gallery

Une fascination existe pour le monde rural, généralement développée par des sensibilités qui y sont extérieures. Une mythologie se façonne alors. L’écart entre la prétention et le fait se travaille selon les ambitions. Il ne faudrait pas cantonner l’élan vers un état pastoral, au pur caprice rétrograde. Économiques, sociales, politiques, esthétiques, trop de raisons aujourd’hui motivent une distance à prendre avec une certaine idée de progrès. Certains donnent forme à une paysannerie fantaisiste. D’autres parviennent à l’humilité vraie.

Grant Wood au Whitney Museum of American Art à New York

Jean-François Millet au Palais des Beaux-Arts à Lille

La vie simple – Simplement la vie par à la Fondation Vincent van Gogh Arles à Arles

Amelie von Wulffen chez Reena Spaulings à New York

Freeform chez Timothy Taylor à Londres

Je t’épaule tu me respires à la Galerie Marcelle Alix à Paris

JJ Lerat à la Galerie Mercier & Associés à Paris

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Jacqueline Lerat, Corps transformé, 64 x 42 cm, grès, 1985 – Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Mercier & Associés, Paris

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Un stimulus léger et plaisant chatouille la rétine au risque de marquer sa persistance. De l’éclat à l’éblouissement, la lumière impressionne par sa fugace ardeur. Tout est simple et élémentaire comme la pluie et le beau temps. Les feux et les diamants. Le motif et la figure. Badinent. Rien n’empêche ensuite d’évoluer vers quelques chose de plus sérieuse.

John M Armleder à La Salle de bains à Lyon

Sarah Tritz au Frac Limousin à Limoges

Pablo Picasso à la Galerie Gagosian à Paris

Amours courtoises à la Galerie Sultana à Paris

Alex Katz chez Timothy Taylor à Londres

Merike Estna à Kunstraum à Londres

Fahrelnissa Zeid à Tate Modern à Londres

FRAC LIMOGES - PRISE DE VUE EXPOSITION SARAH TRITZ
Sarah Tritz, Flat bed 3, 61 x 200 x 140 cm, structure métallique, mousse, bois contreplaqué enduit, peinture acrylique, encre, crayons de couleur, pantalon sur mesure, 2017 – Courtoisie de l’artiste

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Ouverture ménagée pour faire respirer une zone autrement privée de lumière, cette bouche est une interface avec l’extérieur. Elle demeure l’instrument du souffle, propice au courant d’air. Sa béance nécessite l’applique d’un filtre, grille autant technique que décorative. Écran, châssis, treillage, ces incontournables croisillons découpent en permanence la perspective, peu importe le côté de la lucarne où l’on se trouve.

Noël Dolla à la Galerie Bernard Ceysson à Paris

Blind architecture par Douglas Fogle à la Thomas Dane Gallery à Londres

Eva Nielsen à l’Espace d’art Camille Lambert à Juvisy-sur-orge

Simon Hantaï à la Timothy Taylor Gallery à Londres

Maisons fragiles à la Hauser & Wirth Gallery à Londres

Sergej Jensen à la Dépendance Gallery à Bruxelles

Dan Walsh à la Galerie Xippas à Paris

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Eva Nielsen, Roskilde, encre, acrylique, sérigraphie, toile, 2015 – Courtoisie de l’artiste

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Tranquille. J’imprime des trucs. J’laisse respirer ma peau. En faisant la moue, la langueur adolescente affirme une figuration décontractée, l’air de rien. Genre, ah oui on m’regarde ? Du coup c’est toujours un peu le spectacle. Notre intitulé est extrait du langage hashtag. Bienvenue sur la scène de la nonchalance, sinon de cette basique satisfaction qui daigne bien se laisser voir. Ouais.

Alex Katz à la Timothy Taylor Gallery à Londres

Florence Henri au Jeu de paume à Paris

Donna Huanca à la Galerie chez Valentin à Paris

Christian Hidaka  à la Galerie Michel Rein à Paris

Pauline Boudry + Renate Lorenz  à La bf15 à Lyon

David Hockney à la Annely Juda fine art galley à Londres

Lothar Hempel chez Modern Art à Londres

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Donna Huanca, Water scars, 2015 – Courtoisie de l’artiste et de la galerie Valentin, crédit photographique Gregory Copitet

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Cérémonie de mystère, l’œuvre toujours, frôle le rite. Elle est objet de vénération ou sacrilège, réunit certains et exclut les autres. C’est une source communautaire. Recevons maintenant son onction.

La répétition au Frac Franche-Comté – Fonds régional d’art contemporain à Besançon

Helena Almeida à la Richard Saltoun Gallery à Londres

L’ordre caché, saison 1 au Frac Bourgogne – Fonds régional d’art contemporain à Dijon

Davide Balliano à la Timothy Taylor Gallery à Londres

AA Bronson à la Maureen Paley Gallery à Londres

Rêve caverne par  Pascal Pique pour l’Iac au Château-musée à Tournon-sur-rhône

Rafaela Lopez & Baptiste Masson à Flat time house à Londres

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Rafaela Lopez & Baptiste Masson, Trivial bbq, 2015 – Courtoisie des artistes et Flat time house

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Je ne peux dissimuler plus longtemps  l’existence d’un récent séjour londonien. Traverser la Manche reste un évènement. L’autre capitale continue à me fasciner. Et après trois voyages depuis l’été passé, un exotisme agit évidemment encore, mais c’est l’étrange homogénéité de ce que j’ai pu parcourir qui me séduit. Tout semble se répondre. Présentation des collections institutionnelles, actualité des centres d’art et monographies en galeries : on ressent une hypothétique concertation qui rend l’agenda artistique de la ville presque suspect. Ceci est particulièrement appréciable dans le cadre d’un passage furtif et dense totalisant la visite de quatre-vingt quatre expositions en trois jours. Plutôt que de témoigner littéralement de cet harmonieux ensemble, cette sélection justement hétéroclite partagera un florilège, de cœur, pour les yeux.

Nofound to New Documents par Emeric Glayse chez Viktor Wynd Fine Art à Londres

Philippe Parenno à la Serpentine Gallery à Londres

Susan Hiller à la Tate Britain et à la Galerie Timothy Taylor à Londres

Nathan Cash Davidson chez Parasol Unit à Londres

Constructions à la Galerie Carl Freedman à Londres

John Stezaker à la Whitechapel Gallery à Londres

Rallou Panagiotou à la Galerie Ibid Projects à Londres