Évoluant dans une achromie manifeste, un volume sonore se déploie depuis des ondes neutres et inaudibles jusqu’à des cris stridents, frôlant cordes de guitare et percussions puissantes. Ici, les gammes de grisailles évitent le bavardage de la couleur, pour mieux se taire ou hurler plus fort. Ce créneau auditif sera notre territoire, avec en fond de perspective un théorique mur du son, et partout ailleurs, mutisme ou fureur.
Pierre-Olivier Arnaud à la Galerie Skopia dans le cadre des 50Jpg à Genève
Sabine Tholen à la Halle nord dans le cadre des 50Jpg à Genève
Sleep disorders V par Marion Auburtin & Benjamin Laurent-Aman à la Cité des arts à Paris
Altars of madness par Damien Deroubaix & Jérôme Lefèvre au Casino à Luxembourg
The wall par Benjamin Bianciotto à la Galerie Olivier Robert à Paris
Diogo Pimentão à la Galerie Yvon Lambert à Paris
Industries au 105 rue de Paris à Bobigny
> Sabine Tholen, Spray painting 7, 54x39cm, tirage, papier, 2011 – Courtoisie de l’artiste