La série continue, après trois premiers numéros consacrés en janvier à la scène artistique contemporaine de la capitale indienne. Ce troisième voyage indien m’a offert la possibilité de retourner cinq jours dans la mégalopole, étouffant dans la poussière et la pollution, afin de retrouver certaines galeries éminentes tout en en découvrant de nouvelles. La meilleure manière de parcourir le réseau, finalement éclaté, des lieux d’art de la ville, est de le faire avec un chauffeur autochtone en louant un taxi à la journée. Mais la fraîche fierté de mes acclimatations à Delhi réside dans l’expérience du bus, que je prends dorénavant, là aussi, avec aisance. J’éviterai ici de m’étaler sur les bonheurs qui conditionnèrent l’environnement de mes visites, mais retenons en vrac, qu’outre une vingtaine d’expositions, il y eu un dîner chez un chirurgien punjabi, quelques bazars, des vélo-rickshaws, des cafés dans mon Indian Coffee House, le Lotus Temple, encore, et une matinée au commissariat.
On the darkest night I can see the light à la Seven Art Limited Gallery à Delhi
ResembleReassemble à la Devi Art Foundation à Gurgaon
Souza à la Lalit Kala Akademi à Delhi
Mrinalini Mukherjee à la Galerie Espace à Delhi
Gauri Gill à la Nature Morte Gallery à Delhi
Snow à la Palette Art Gallery à Delhi
Dhruv Malhotra à la Photo Ink Gallery à Delhi