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Archives de Tag: Galerie Tanya Leighton

Dans l’œil, il y a une lumière. Celle-ci s’intensifierait avec le plaisir montant. Une volupté s’exprime. Sa déraison ferait éclater le spectre, pour une fougueuse irrigation chromatique, bien éloignée de l’équilibre ultime d’un faisceau blanc. Une lueur cosmétique s’émoustille, solennellement.

Piet Mondrian au Musée Marmottan Monet à Paris

Emmanuelle Castellan à La Vigie à Nîmes

Hiroka Yamashita chez Tanya Leighton à Berlin

Dan Flavin chez David Zwirner à Paris

Christodoulos Panayiotou par Donatien Grau au Musée d’Orsay à Paris

Emma Kunz par Christodoulos Panayiotou à la Serpentine Gallery à Londres

Habima Fuchs chez Svit à Prague


Emmanuelle Castellan, the woman who behaves like a man, 80 x 58 cm, huile sur toile, 2019 | Courtoisie de l’artiste, crédit photographique Pierre Schwartz

Le gibier s’y abrite lorsqu’il est traqué. Asile ou échappatoire. Il s’agit d’un emplacement où l’on se met en sûreté pour fuir un ennui ou autrui. Ainsi on dessine son havre. On dresse son repaire. On construit sa tanière en y déployant toute une infrastructure assurant sa sécurité, éloignant le danger, annulant la menace. Voilà un espace où l’on prend soin. Nous nous y dérobons.

Laure Prouvost chez Carlier | Gebauer à Berlin

Io Burgard à la Galerie Maïa Muller à Paris

Le monde nouveau de Charlotte Perriand à la Fondation Louis Vuitton à Paris

Christine Roland à la Galerie Tanya Leighton à Berlin

Ride the Wild chez Lévy Gorvy à Londres

Eva Rothschild à Blue Projects | Blue Mountain School à Londres

Eileen Gray par Gilles Peyroulet & Cie à Frieze Masters 2019 à Londres

Eileen Gray-galerie Peyroulet
Eileen Gray, Siège-escabeau-porte serviettes de La villa Tempe a Pailla (Castellar), 70 x 38 x 50 cm, bois peint bicolore blanc et vert foncé, 1930-33 | Courtoisie de Gilles Peyroulet & Cie (Paris)

Flamboyance. Figuration. L’actualité artistique européenne invite à se plonger dans l’épaisseur des enseignements théosophiques. Ils nous apprennent que tout humain disposerait de sept enveloppes hiérarchisant notre être à l’échelle de l’univers, du matériel au subtil. Selon les lois du septénaire, il existe un degré proche de notre consistance physique, qui contribuerait entre autres à asseoir les colorations de l’aura. Il donnerait à toute substance sa forme.

Hilma af Klint à la Serpentine gallery à Londres

Vidya Gastaldon à la Galerie Art:concept à Paris

Il simbolismo au Palazzo reale à Milan

Kiki Kogelnik à la König galerie à Berlin

Surreal à la König galerie à Berlin

Sanya Kantarovsky à la Galerie Tanya Leighton à Berlin

Ryan Mosley chez Alison Jacques à Londres

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Louisa Gagliardi, Le complot, 165x115cm, vernis à ongle, encre , vinyle, 2016 – Courtoisie de l’artiste

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Me voilà de retour d’un tout premier séjour dans la capitale allemande, visée depuis un moment par la scène artistique internationale comme le contexte ultime de la création actuelle. Il faut donc tenter de se libérer de toutes ces louanges entendues depuis des années, pour réussir à vivre la ville de façon singulière, avec le plus de disponibilité possible. La tâche est difficile, car tous mes aprioris créés par méfiance ou résistance, se sont vus progressivement confirmés : précarité entretenue, jeunisme, chantiers permanents, douleurs historiques encore tangibles et modernisme omniprésent. Mais ce râle ne doit pas taire le réel enthousiasme procuré par la découverte de la vaste métropole, froide et déserte. En une semaine, cent cinquante-deux expositions ont guidé mon itinéraire au sein de différents quartiers. Ce premier numéro berlinois partagera le meilleur de mon non-étonnement.

The poster show à la Galerie Carlier Gebauer à Berlin

Tina Schulz à la Galerie Kow à Berlin

Sammlung Boros à Berlin

Dominik Lang à la Galerie Krobath à Berlin

Sean Edwards à la Galerie Tanya Leighton à Berlin

I’ll explain you everythiinnngggg à la Galerie Chert à Berlin

Tobias Madison chez Haubrokshows à Berlin