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Archives de Tag: Musée du château des ducs de Wurtemberg

Le temps passe. Et conscient de sa condition, l’homme s’obstine alors à le mesurer, à s’y mesurer, pour mieux supporter son écoulement. Une panoplie d’outils sont inventés pour satisfaire l’humanité d’un contrôle superficiel de cette donnée. Le Frac Franche-Comté exploite cette perspective pour développer des activités en un environnement marqué par le tradition horlogère. Ce fonds régional fut discrèt ces années-ci, et l’inauguration de son nouveau bâtiment m’emporta donc sans hésitation, à l’abordage de sa diffusion sur le territoire, pour enfin cerner ce qui le constitue. Malgré une communication timide et maladroite, je peux témoigner d’une réelle prise d’initiative pour célébrer l’institution, et soutenir le réseau culturel dans lequel il s’inscrit au fil du Doubs. Grâce à de précieuses hospitalités du matin à Belfort jusqu’au soir à Besançon, c’est une journée sportive et heureuse qui me fit voyager dans la quatrième dimension.

L’embarras du choix au Musée des beaux-arts – Tour 46 et à la Galerie du Granit à Belfort

Le Corbusier avec Notre-dame-du-haut sur la colline de Bourlémont à Ronchamp

Monsieur Surleau et le cyclope au Musée du Château des ducs de Wurtemberg à Montbéliard

Monozukuri, façons et surfaces d’impression à l’Isba – École des beaux-arts à Besançon

Cécile Meynier à la Toshiba House à Besançon

Kengo Kuma avec La cité des arts à Besançon

Des mondes possibles par Sylvie Zavatta au Frac Franche-Comté à Besançon

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> Marina Abramović, Becoming visible (détail), 1993 – Collection Frac Franche-Comté

Cette discipline scientifique met à jour des vestiges matériels enfouis afin de reconstituer l’histoire des civilisations. Prospection et interprétation permettent donc de filer une métaphore permanente entre l’activité de l’archéologue et celle de l’artiste, qui partagent un même appétit pour la composition, distinguant avec détermination les éléments d’un même corpus ensuite offerts de façon démonstrative. Deux présentations collectives affirmaient de part et d’autre du territoire français, l’évidence de notre comparaison. En prise avec les méandres de la mémoire, il s’agit toujours d’exposer, à l’air, au soleil, à la connaissance et au regard.

Pierre Vadi à la Galerie Triple V à Paris

Gyan Panchal à la Galerie Frank Elbaz à Paris

Archéologies contemporaines par Aurélie Volz  au château des ducs de Wurtemberg à Montbéliard

Archéologie – Un mythe contemporain par Alexandra Fau à La tôlerie à Clermont-Ferrand

Neo – Never ending object par Ann Guillaume & Yann le Guennec à Paris

Fos à la Galerie Max Wigram à Londres

Welcome to our future par Jean Boîte Éditions à Vecteur Interface à Nantes

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> Ann Guillaume – Courtoisie de l’artiste