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Archives de Tag: Lychee one Gallery

Système qui gouverna l’enseignement musical au Moyen-Âge, il fut inventé par Gui d’Arezzo afin de répartir toute l’échelle diatonique en trois hexacordes identiques. Voici un principe qui a permis d’accorder les chants durant des siècles. D’un point de vue plus guttural, le terme désigne également l’altération de la voix de l’adolescent qui passe au moment de la puberté, du registre élevé de l’enfant au registre grave de l’adulte. Une figuration en mutation.

Elizabeth Peyton chez Sadie Coles HQ à Londres

Young Monsters par Marcelle Joseph chez Lychee One à Londres

Maryan à la Galerie Patricia Dorfmann à Paris

Self Portrait with Visor à la Galerie Campoli Presti à Paris

Helene Schjerfbeck à la Royal Academy of Arts à Londres

Transformer: A Rebirth Of Wonder pour The Vinyle Factory à Londres

Ambera Wellmann au MO.CO.Panacée à Montpellier

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Ambera Wellmann | Courtoisie de l’artiste et de la galerie Kraupa-Tuskany Zeidler (Berlin)

Voilà une caractéristique vertigineuse, d’un matériau qui jamais ne se rompt. Habitué des superlatifs, l’or culmine dans cette catégorie aussi, puisque son étirement générerait un fil à l’infini. Pérennité de la matière. Malléabilité de la forme. Tout ici contredit le fragile. Il s’agit de résister. Célébrer une telle plasticité, c’est bien-sûr jouir une fois de plus des gourmandises souples offertes par la peinture et la céramique.

Eugène Leroy à la Galerie Nathalie Obadia à Paris

Wasters par Alex Hoda & Robert Rush à la Edel Assanti Gallery à Londres

And the soft ground… par Àngels Miralda à la Lychee one Gallery à Londres

Marc Desgrandchamps à la Galerie Zürcher à Paris

Basic instinct par Attilia Fattori Franchini à la Seventeen Gallery à Londres

Ratatouille par Felix Gaudlitz chez Shanaynay à Paris

Maude Maris à la Galerie Isabelle Gounod à Paris

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Mark Essen, Heelz (green)(warwickshire), céramique émaillée, 2015 – Courtoisie de l’artiste

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Son nom international est bien plus sexy. La désignation exotique proviendrait de l’italien qui dès le dix-huitième siècle lierait la fameuse maladie infectieuse à l’influence du froid. Pour le lexique français, nous avons préféré nous attacher à son caractère ravageur. Nous ne l’attrapons pas, c’est elle qui nous empoigne. Être grippe. La déraison amplifiée par la fatigue propulse notre corps fébrile dans des paysages apocalyptiques. Fièvre, céphalée, toux, pharyngite et myalgies font oublier la très relative bénignité de l’état grippal pour nous morfondre dans les abysses, yeux gonflée, tempes suintantes, gorge irritée. Et alors que l’exténuation domine l’activité corporelle, tâchons de nous enthousiasmer de quelques avantages. Suer permet de brûler des calories. Se liquéfier évacue les toxines. Bousculer une fois de plus le système immunitaire le fortifie.

Roland Flexner à la Galerie Massimo de Carlo à Londres

Eileen Quinlan à la Galerie Campoli Presti à Londres

Caroline Mesquita à la Union pacific gallery à Londres

Turibulum game plan à la Lychee one gallery à Londres

Holly Hendry à la Bosse &  Baum Gallery à Londres

Organic sculptures à la Alison Jacques Gallery à Londres

Stéphanie Cherpin à L’assaut de la menuiserie à Saint-Étienne

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Stéphanie Cherpin, Foreign parts, 2015 – Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Cortex Athletico, crédit photographique Cyrille Cauvet

Le numéro complet est disponible sur abonnement.