Envisageons une météorologie ennuyeuse, propice à cette luminosité qui s’éternise parfois, dans des grisailles claires. La passage du jour à la nuit n’a alors plus rien de spectaculaire. Le ciel s’éteint simplement, dans une sobriété neutre, éventuellement violacée par le froid. Peut-être, un éclair rose viendra ponctuellement trancher le bas de notre voûte. Il s’agira d’une exception qui fouettera la banalité des tons las. Autrement, à quelques jours du solstice hivernal, tout reste voilé, nappé d’un brouillard homogène.
Julia Kröner à la Galerie Artary à Stuttgart
Hans Holbein d.Ä. à la StaatsGalerie à Stuttgart
Gabor Ösz à la Galerie Loevenbruck à Paris
Entre chien et loup à la Galerie Vidal Saint Phalle à Paris
Monica Majoli à la Galerie Air de Paris à Paris
Anna+Peter au Frac Champagne-Ardenne à Reims
John Adair chez ParisConcret à Paris