Ces cadeaux offerts en début d’année, trouvent leur origine dès l’Antiquité romaine. La coutume proviendrait ainsi de quelques branches coupées dans le bois consacré à la déesse Strena, données au roi Tatius qui les interpréta comme un augure favorable. Ce signe résonna dans l’Empire, transformant de manière exponentielle les brindilles porte-bonheur en figues, dattes, miel, vêtements, objets, meubles puis pièces d’argent. Condamnée comme pratique diabolique par l’Église, considérée par la Révolution française comme une forme de corruption, cette tradition ne semble subsister que régie par une codification sociale très encadrée. De quoi partager ici avec vous quelques pépites n’ayant trouvé leur chronique en fin d’année passée.
Brian Rochefort chez Sorry We’re Closed à Bruxelles
CRMCS#1 par Kris Campo à la Galerie Zwart Huis à Bruxelles
Anne Marie Laureys à la Jason Jacques Gallery à New York
Gabriel Hartley chez Seventeen à Londres
Phyllida Barlow chez Hauser & Wirth New York 22nd st à New York
Le centre ne peut tenir à Lafayette Anticipations à Paris
Ken Price à la Matthew Marks Gallery à New York
Brian Rochefort, Venus, 2018 – Courtoisie de l’artiste