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Archives de Tag: Arcade

Avant d’être par métonymie un synonyme de désordre d’objets, le nom désigne un ancien village de pêcheurs en Galilée, devenu grande place marchande. Mille choses ainsi s’y entasseraient. Un encombrement matérialiste règne. Un attachement aux possessions prime.

Than Hussein Clark par Marie de Brugerolle au Crac Occitanie à Sète

Casa Dolce Casa par Rosario Caltabiano chez 22.48m² à Paris

Laëtitia Badaut Haussmann à la Galerie Allen à Paris

Philippe Favier par Thierry Raspail au Musée de Valence à Valence

Gennariello (part II) par Daniele Balice chez Balice Hertling à Paris

Anna Barham chez Arcade à Bruxelles

Isa Genzken chez David Zwirner à Paris

4602e7fc-604a-4ca3-ba8c-996646d60567Than Hussein Clark, vue de l’exposition « A little Night Music (and reversals) » au Crac Occitanie (Sète) | Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Crèvecoeur (Paris), crédit photographique Marc Domage

Pour vivre, l’araignée façonne de subtiles pièges de soie. Les ancêtres de l’animal dans sa forme primitive, utilisaient ce fil pour la fabrication de cocon afin de protéger les œufs, ne tissant alors pas encore de toile. De la sauvegarde de sa progéniture à la capture de sa proie, l’évolution naturelle a dû générer de nouveaux schémas de confection. Dans le domaine du tissage, une étape déterminante consiste à assurer les préparatifs de tout ouvrage, avant d’entreprendre son exécution effective. Il y a manigance. Quelque chose se trame.

Caroline Achaintre | Anna Barham | Peggy Franck par Arcade à ARCOmadrid à Madrid

Drapé au Musée des Beaux-Arts de Lyon à Lyon

Man Ray par la RMN Grand Palais au Musée Cantini à Marseille

Alisha Wessler dans son atelier à La Factatory à Lyon

Olga de Amaral par Richard Saltoun à ARCOmadrid à Madrid

Jennetta Petch & Szymon Kula dans leur atelier à La Factatory à Lyon

Marion Baruch à La BF15 à Lyon

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Caroline Achaintre, Pasodoble, laine tuftée main, 2020 | Fundación ARCO (Madrid) | Courtoisie de l’artiste et Arcade (Londres)

La lave progresse, visqueuse, sans projection ni écoulement du volcan. Sa texture géologique aurait inspiré l’industrie, qui mit en place une mécanique de fabrication au moyen d’une boudineuse, pour mieux standardiser les corps synthétiques ou métalliques. Leur pression, leur température, ont une influence. Ça profile. Une organicité règne. Ainsi le débit de viande, voire la défécation, nous impose une plasticité triviale, même diluée.

Bram Bogart à White Cube Mason’s Yard à Londres

Beyond the Vessel par Catherine Milner & Károly Aliotti à Meşher à Istanbul

Shahryar Nashat à Rodeo à Londres

Svätopluk Mikyta au Center for Contemporary Arts Prague | Jeleni Gallery à Prague

Katy Moran à Modern Art | Vyner St à Londres

Peggy Franck à Arcade à Londres

Vivian Sutter au Camden Arts Centre à Londres


Sam Bakewell | Courtoisie de l’artiste

Aujourd’hui, c’est par le glissement du doigt sur l’écran que nous déverrouillons nos téléphones ou faisons défiler un diaporama. Pour cela, encore faut-il avoir les mains propres. L’ère tactile nous fait effectuer des chorégraphies dictées par des interfaces électroniques, auxquelles nous obéissons. Nous ne pressons plus, nous effleurons, tout en opérant dans ce cas un mouvement latéral. Avec un certain expressionnisme, la couleur s’étale.

Bernard Frize chez Simon Lee à Londres

Howard Hodgkin à la Gagosian Gallery – Grosvenor Hill à Londres

Adrian Ghenie à la Galerie Thaddaeus Ropac à Paris

En couleurs par Edouard Papet au Musée d’Orsay à Paris

Rachel de Joode à la Galerie Christophe Gaillard à Paris

A forest chez Arcade à Londres

Leslie Vance chez Herald St à Londres

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Howard Hodgkin, Knitting Pattern, 33.7 x 38.7 cm, huile sur bois, 2015-16 – Courtoisie Gagosian Gallery, crédit photographique Lucy Dawkins © Howard Hodgkin Estate

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Vaguer et vaquer. L’errance ne relève pas nécessairement de l’oisiveté. Il existe au contraire des formes de pérégrinations extrêmement actives. Par goût ou par nécessité, il s’agit de bouger. L’exil et la fugue ont leurs raisons. Le nomadisme et l’égarement n’en ont pas besoin. De quoi s’autoriser un flottement, ou même de manière plus manifeste, un mode de vie sans ancrage définitif. Plutôt que d’être nulle part chez soi, décider d’y être partout. Le XXIe siècle demande sur de nombreux plans, à reconsidérer ses attaches matérielles et s’engager dans une circulation fluide. Voguons, liquide dans le monde.

Amandine Arcelli à la Galerie Tator à Lyon

Mimosa Echard à Cell Project Space à Londres

Mondes flottants par Emma Lavigne à La sucrière et au Musée d’art contemporain à Lyon

Julien Creuzet chez Laure de Clerci à Marseille

Double saut à VàV à Villeurbanne

John Wallbank chez Arcade Fine Arts à Londres

Just having a body is a daily comedy à la Galerie Jérôme Pauchant à Paris

Ricochets, les galets que nous sommes finiront par couler ( Epilogue ) (détail)
Julien Creuzet, Ricochets, les galets que nous sommes finiront par couler (Épilogue), 2017 | Courtoisie de l’artiste, crédit photographique Blaise Adilon

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Accessoire et résolue, elle est un document annexé à un message principal. Cette pratique existait bien-sûr avant l’ère numérique. Les correspondants n’ont pas attendu l’électricité pour s’envoyer des missives à tiroirs. Aujourd’hui cependant, le terme induit un encodage, une transformation technique de l’information pour mieux pouvoir l’acheminer. Le fichier initial subit généralement une compression afin de limiter les encombrements. C’est ce façonnage-là qui nous concerne, dans sa manière, sa matière. Les composants semblent malaxés. Et pour apparaître, l’image doit être ré-ouverte.

Robert Rauschenberg à la Galerie Thaddaeus Ropac à Paris

Liz Deschenes à la Galerie Campoli Presti à Paris

Jospehine Meckseper à la Galerie Gagosian à Paris

landlords are not currently collecting rent in self-love chez Cell project space à Londres

Elsa Boch & Ferréol Babin à la Galerie Tator à Lyon

Au-delà de l’image III à la Galerie Escougnou-Cetraro à Paris

Peggy Franck chez Arcade à Londres

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Peggy Franck, Of naked ground, 248x178cm, c-print, 2015 – Courtoisie de l’artiste et de Arcade, London

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Le terme latin désigne historiquement, l’action funeste des astres. Telle une mélancolie liée à la menace d’une planète noire, ce phénomène affirme un rapport entre notre tête et tout ce qui ce trouve au-dessus d’elle. L’emprise du ciel et de ses composantes, débouche sur des troubles qui pétrifient la raison et abandonne le corps à une présence intensifiée. Au mieux, une violente propension à la contemplation se met en place, fascinée par des sujets qui deviennent pour le médusé, ses nouvelles lunes, son nouveau soleil.

John Finneran chez Arcade à Londres

Arcade at ArtBrussels 2016 à Art Brussels 2016 à Bruxelles

Caroline Achaintre chez c-o-m-p-o-s-i-t-e à Bruxelles

Sergio Verastegui à la Galerie Thomas Bernard à Paris

Christodoulos Panayiotou chez Rodeo à Londres

Monstres et madones par Ana Mendoza Aldana à la Galerie Triple V à Paris

Guillermo Kuitca chez Hauser & Wirth à Londres

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Céline Vaché-Olivieri, Contrebande, 40x40x90cm, céramique, lycra, 2016 – Courtoisie de l’artiste

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La paluche façonne. Fondamentalement tendre, ce geste affirme une surface dans une perspective de jouissance. Le corps devient outil et matériau. Il est action, de l’effleurement à la friction tonique. La détermination de son frôlement fait forme.

Paw à Arcade à Londres

Index (juste un doigt) à la Galerie de multiples à Paris

Ben Cain à Tenderpixel à Londres

Through sculptors’ lens à la Galerie Waddington Custot à Londres

Barbara Hepworth à la Tate britain à Londres

Charlotte Moth à la Archive gallery à la Tate britain à Londres

Rushes à la Galerie Marcelle Alix à Paris

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Charlotte Moth, Filmic sketches, 9’12, film 16 mm teleciné, couleur, son, 2015 – Courtoisie de l’artiste et de la galerie Marcelle Alix, Paris

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Voilà une ville où l’été n’est pas un prétexte à la paresse. On connaît mon enthousiasme pour la capitale britannique, pourtant découverte il y a un an seulement. L’engouement reste vif et le témoignage de ce quatrième séjour se concentrera sur une sélection d’expositions collectives offertes ces jours-ci par la scène londonienne, où galeries et fondations maintiennent une exigence très satisfaisante.

Untitled (Evidence) à la David Roberts Art Foundation à Londres

All that glitters à la Stephen Friedman Gallery à Londres

Glaze à la Bischoff/Weiss Gallery à Londres

Sharp Surface chez Arcade à Londres

The moment pleasently frightful par Chris Sharp à la Laura Bartlett Gallery à Londres

The shape of things to come : New sculpture à la Saatchi Gallery à Londres

We will live, we will see à la Zabludowicz Gallery à Londres