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Archives de Tag: Fondation Vincent van Gogh Arles

La figuration parfois fige. Ses contours sulfureux contribuent au choc. Les fleurs sont bousculées. Leur nature pousserait à s’y vautrer. Par le désir, les corps sont pétrifiés. Leurs poses nourrissent la mise en scène d’une consomption. On brûle de froid.

Nicole Eisenman à la Fondation Vincent Van Gogh Arles à Arles

Victor Man chez Max Hetzler à Paris

Mammatus à Aperto à Montpellier

Elizabeth Glaessner chez Perrotin à Paris

Trois p’tit tours et puis s’en vont par Anne Giffon-Selle au 19, Crac à Montbéliard

Louisa Gagliardi chez Rodolphe Janssen à Bruxelles

Xie Lei chez Semiose à Paris

Xie Lei, Insinuation, huile sur toile, 2022 | Courtoisie de l’artiste et de Semiose (Paris), crédit photographique Aurélien Mole

En d’innombrables grappes disposées uniformément, elles occupent le terrain. Les floraisons qui caractérisent ce style prisé dès le Moyen-Âge, s’affichent ainsi de la petite touffe au large branchage. Car le motif est très commode. Il se décline dans tous les formats, peu importe la complexité et les dimensions de la parure. Cette verdure-là est omniprésente, et surgit aussi bien sur les supports narratifs que décoratifs, religieux que profanes, rustiques que nobles. Personne ne la soupçonne. En parfumerie, c’est un jus obtenu par plusieurs espèces distillées. En médecine, c’est un ancien remède à base d’urine de vache. On l’a pense innocente. Toujours, ça remplit.

Dom Robert à l’Abbaye de La Chaise-Dieu à La Chaise-Dieu

Tisser la nature au Musée de Lodève à Lodève

Fanette Mellier à L’échappée belle à Sète

Laura Owens & Vincent van Gogh à la Fondation Vincent van Gogh Arles à Arles

Josèfa Ntjam par Nicoletti (Londres) à Art-o-rama 2021 à Marseille

Reculer les murs au Musée Horta à Bruxelles

Amélie Bertrand chez Semiose à Paris

bb0f5888-0dbd-425b-260b-54b33381fdfeDom Robert, L’École buissonnière, 197.5 x 430.5 cm, atelier Goubely-La Beauze (Aubusson), 1997 | Abbaye d’En Calcat (Dourgne), crédit photographique Jean-Luc Sarda

L’hospitalité à travers toutes ces formes, agit pour l’inclusivité. Alors que le lexique francophone tâtonne avec créativité pour façonner une langue plus juste, des gestes simples peuvent contribuer à mieux accueillir l’autre, quelque soit son genre. Au-delà de l’étiquette et des règles sociales sophistiquées, il existe une politique irréductible de la bienvenue.

Konstantin Sgouridis à Halle Nord à Genève

La Complicité par Bice Curiger & Julia Marchand à la Fondation Vincent Van Gogh Arles à Arles

Selina Baumann à la Galerie Laurence Bernard à Genève

Pavillon Southway par Southway Studio à Marseille

Robin Plus à Extramentale à Arles

Shimabuku par Amanda Wilkinson à Londres

Pandora Graessl à La Chapelle de la Madeleine à Arles

cddeb7cf-ee29-4caa-891a-fa7b3aa789cb Pavillon Southway par Southway Studio (Marseille) | Courtoisie des artistes, crédit photographique Hervé Hôte

Nous pouvons nous demander si les machines continuent lorsque les humains s’arrêtent. Objets d’ingéniosité, elles demeurent un sujet de fascination au-delà du pur fonctionnement qui a dicté leurs contours. Et c’est là d’ailleurs la caractéristique qui rend leur formes fabuleuses, au point d’égarer parfois leur besogne, ce que l’art aime faire régulièrement. Évitons intentionnellement ici l’ère numérique pour nous concentrer sur une mécanique traditionnelle, et les ferrailles animées qui la composent.

Eduardo Paolozzi à C L E A R I N G à Bruxelles

John Chamberlain à la Galerie Karsten Greve à Paris

Analog Histories in Primary Colors à neugerriemschneider à Berlin

Sylvie Fleury à la Galerie Thaddaeus Ropac à Paris

… et labora par Bice Curiger à la Fondation Vincent Van Gogh Arles à Arles

Philolaos au Musée de Valence | Art et archéologie à Valence

Sterling Ruby chez Gagosian Britannia St à Londres

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Philolaos, Cache-amant, 185.5 x 70 x 66 cm, acier inoxydable, 1965 | Fonds d’atelier de l’artiste © Musée de Valence, crédit photographique Thomas Hennocque

Formant une masse indéterminée, les personnes ainsi désignées le sont généralement par une forme acceptable d’arrogance. Elles sont les autres. Elles sont l’humanité en général. Elles sont le poncif, le stéréotype, le cliché. Il s’agit de leur conférer une image. La figuration s’impose. Elle oscille entre le spécifique et le commun, entre la surprise et l’indifférence. Son expression est frontale, forcément sans réserve. Qu’on le veuille ou non, elle est un reflet.

Lina Scheynius à la Galerie Tanja Wagner à Berlin

Anne Ryan à la Ribot Gallery à Milan

On danse ? au Mucem à Marseille

Andy Warhol à la Galerie Buchholz à Berlin

Thomas Schütte par Camille Morineau à la Monnaie de Paris à Paris

Niko Pirosmani par Bice Curiger à la Fondation Vincent van Gogh Arles à Arles

Alec Soth à la Loock Galerie à Berlin

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Lina Scheynius, untitled (diary), 26.75 x 40 cm, fibre-based silver gelatin print, 2014 – Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Tanja Wagner (Berlin)

Le terme anglo-saxon qualifie ce qui apparaît en soirée, prenant racine dans les antiques vêpres. Popularisé par l’album de Björk, ce chuchotement invoque les mystères du couchant, l’imaginaire qui veille et l’énergie somnambule. Le jour décline, c’est l’heure où la vision se trouble. Que ce soit par le vacillement de la luminosité, par celui du bon sens, ou un peu des deux, tout peut advenir.

Johann Henrich Füssli au Kunstmuseum Basel à Bâle

Nightfall par Erika Verzutti, Fernanda Brenner & Milovan Farronato chez Mendes Wood DM à Bruxelles

Santiago de Paoli à la Galerie Jocelyn Wolff à Paris

Hilma af Klint au Solomon R. Guggenheim Museum à New York

Siècles Noirs par Julia Marchand à la Fondation Vincent Van Gogh Arles à Arles

Peindre la nuit par Jean-Marie Gallais au Centre Pompidou-Metz à Metz

Tala Madani à la 303 Gallery à New York

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Santiago de Paoli, Cuadro con luz interior, 24 x 24 x 2 cm, céramique, bougie, huile, 2017 – Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Jocelyn Wolff (Paris)

Expression heureuse faisant autant honneur à la fonction qu’à l’agrément, elle fut consacrée en tant que formule par une exposition en 1949 au Salon des Arts Ménagers de Paris. Une volonté œcuménique d’après-guerre vise ainsi à cultiver une synthèse des arts. La maison s’affirme comme le lieu de la modernité. Il est surprenant de constater combien aujourd’hui ces positions radicales continuent d’influencer l’iconographie et l’état d’esprit en tous domaines.

Danielle Orchard chez Jack Hanley à New York

Louis Fratino à la Galerie Antoine Levi à Paris

Soleil chaud, soleil tardif par Bice Curiger à la Fondation Vincent van Gogh Arles à Arles

Muralnomad par Tiphanie Dragaut-Lupescu au Quadrilatère à Beauvais

Jean Lurçat chez Rosenberg & Co. à New York

U.A.M. Une aventure moderne au Centre Pompidou à Paris

Jean Prouvé à la Fondation Luma à Arles

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Charles-Édouard Jeanneret-Gris dit Le Corbusier, La Femme et le maréchal ferrant, 218 x 365 cm, tapisserie de basse lisse, textile laine, réalisé à la Manufacture nationale de la tapisserie, Beauvais, quatrième exemplaire, 1987-88 – Collection Mobilier national, crédit photographique Dominique Mathieu

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Ou tranquille. Ou immobile. Ou coite. Cela laisse ainsi de la marge pour titrer de futures chroniques encore, tant le sujet est passionnant, et ce numéro n’est pas le premier à le frôler. Alors que les Gender Studies semblent incontournables en toute initiative, il peut être éclairant d’embrasser la question au sein des catégories qui longtemps régirent la hiérarchie en matière de Peinture, et qui continuent aujourd’hui à avoir un impact flagrant sur l’ensemble des médiums. La Nature Morte est apparue en tant qu’ordre à la fin du XVIIe siècle, au plus bas du système des valeurs. Mineure parmi toutes, elle s’obstine à organiser des objets inanimés dans un espace confiné rendant compte d’une effroyable conscience de finitude. Elle est un portrait en réserve, une histoire sans majuscule, un paysage d’une autre échelle.

Matthew Ronay à la Galerie Perrotin à Paris

Théo Massoulier à l’INSA Lyon à Villeurbanne

Morgan Courtois pour Les jours de pleine lune #11 Saison 2 Sol à La Tôlerie à Clermont-Ferrand

Jacqueline Lerat au Musée Ariana à Genève

Paul Nash par Simon Grant à la Fondation Vincent van Gogh Arles à Arles

Still life par Tacita Dean à The National Gallery à Londres

Wolfgang Tillmans au Carré d’Art à Nîmes

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Matthew Ronay, Limerent bond – détail, 52.7 x 66 x 29.2 cm, tilleul, teinture, gouache, flocage, plastique, acier, 2017 – Courtoisie de l’artiste et de la galerie,
crédit photographique Claire Dorn

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Une fascination existe pour le monde rural, généralement développée par des sensibilités qui y sont extérieures. Une mythologie se façonne alors. L’écart entre la prétention et le fait se travaille selon les ambitions. Il ne faudrait pas cantonner l’élan vers un état pastoral, au pur caprice rétrograde. Économiques, sociales, politiques, esthétiques, trop de raisons aujourd’hui motivent une distance à prendre avec une certaine idée de progrès. Certains donnent forme à une paysannerie fantaisiste. D’autres parviennent à l’humilité vraie.

Grant Wood au Whitney Museum of American Art à New York

Jean-François Millet au Palais des Beaux-Arts à Lille

La vie simple – Simplement la vie par à la Fondation Vincent van Gogh Arles à Arles

Amelie von Wulffen chez Reena Spaulings à New York

Freeform chez Timothy Taylor à Londres

Je t’épaule tu me respires à la Galerie Marcelle Alix à Paris

JJ Lerat à la Galerie Mercier & Associés à Paris

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Jacqueline Lerat, Corps transformé, 64 x 42 cm, grès, 1985 – Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Mercier & Associés, Paris

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

C’est-à-dire, en présence. Les éléments structurels et enveloppants désignent le caractère physique d’une personne. Structure et ornement permettent dans notre réalité tangible, l’apparition des autres et de soi, car nous partageons entre autres cela, ici et maintenant. Plusieurs rétrospectives de grands peintres figuratifs soclent dans l’actualité européenne, une affirmation du portrait comme culte existentiel. Il s’agira en complément de ces rendez-vous bien incarnés, de célébrer l’ivresse de notre condition charnelle.

Jesse Darling chez Sultana à Paris

Maria Lassnig chez Hauser & Wirth à Londres

Alice Neel à la Fondation Vincent van Gogh Arles à Arles

Love remains à The pipe factory à Glasgow

David Hockney à la Tate britain à Londres

Tropical hangover par Borbála Soós & Stella Sideli à Tenderpixel à Londres

Anya Gallaccio à la Thomas Dane Gallery à Londres

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Urara Tsuchiya, France-Lise McGurn & Zoe Williams, Love remains, dîner, 2017 – Courtoisie des artistes

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Allez, vogue. Laisse ton corps bouger sur la musique, bouger sur la musique. Hé, hé, hé. Allez, vogue. Laisse ton corps être porté par le flow, porté par le flow. Tu sais que tu peux le faire. Tout ce dont tu as besoin, c’est ta propre imagination. Alors utilise-la, c’est pour ça qu’elle est faite. C’est pour ça qu’elle est faite. Cherche à l’intérieur, ton inspiration la plus profonde. Tes rêves ouvriront la porte, ouvriront la porte. Il n’y a aucune différence, si tu es es noir ou blanc. Si tu es un garçon ou une fille. Si la musique bouge, cela te donnera une nouvelle vie. Tu es une superstar, oui, c’est ce que tu es, tu le sais.

Jacopo Miliani à la David Roberts Art Foundation à Londres

Simon Fujiwara à The photographers’ gallery à Londres

John Currin chez Sadie Coles HQ – Davies st à Londres

Lynette Yiadom-Boakye à la Kunsthalle Basel à Bâle

Les sept périls spectraux par Emeline Dupas à la Galerie Arnaud Deschin à Paris

Urs Fischer à la Fondation Vincent van Gogh Arles à Arles

Walasse Ting au Musée Cernuschi à Paris

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Jacopo Miliani, Throwing balls at night, performance, extraits de la captation, 2016 – Courtoisie de l’artiste et de Draf London, crédit photographique Reynir Hutber – Thisistomorrow

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

La destination est mythique. On dit qu’y règne un climat durable de béatitude. Le beau temps est permanent et toujours, le soleil caresse les poils dans un doux petit courant d’air. La volupté des Sybarites est proverbiale. Cette ancienne colonie grecque du sud de l’Italie se distingue par la mollesse de ses mœurs. Le dogme chrétien lui associe la luxure et l’indiscipline. Ses habitants auraient cultivé une créativité de la jouissance, quête exponentielle de nourritures inédites. Lorsqu’une personne mettait au point une nouvelle recette, elle était la seule de la contrée à pouvoir la cuisiner durant l’année qui suit, obligeant chacun à redoubler d’énergie pour surpasser ses concitoyens sur l’échelle du délice.

Lukas Duwenhögger à Raven row à Londres

Pure fiction par Julie Boukobza à la Galerie Marian Goodman à Paris

Pierre Guyotat, la matière de nos œuvres par Donatien Grau à la Galerie Alaïa à Paris

Cornel Brudascu par Mircea Cantor à la VnH Gallery à Paris

Le meilleur des mondes par Claire Staebler à La kunsthalle à Mulhouse

Nouveau ! à la Galerie Anne Barrault à Paris

Vincent van Gogh par Sjraar van Heugten à la Fondation Vincent van Gogh Arles à Arles

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Pierre Guyotat, frontispice à la gouache d’Éden, Éden, Éden paru en 1970 aux Éditions Gallimard – Collection Bibliothèque nationale de France

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

C’est un domaine entier qui s’offre au regard. Le terrain a été progressivement domestiqué. Son propriétaire le marque ostensiblement. L’aire a peut-être été longtemps laissée en jachère, avant qu’un audacieux ne décide de s’y implanter. Il s’agit de l’histoire des étendues picturales. Dans ces plaines, on préfère ne rien y figurer d’emblée, comme pour préserver une forme de latence. La clôture n’est que périphérique. Elle enferme une ouverture. Enthousiasmons-nous des avenirs du rectangle.

Jean-Baptiste Bernadet à la Galerie Almine Rech à Bruxelles

Wallace Withney à la Galerie Bernard Ceysson à Saint-Étienne

Keltie Ferris à la Galerie Klemm’s à Berlin

Andreas Eriksson à la Stephen Friedmann Gallery à Londres

Très traits par Bice Curiger à la Fondation Vincent van Gogh Arles à Arles

David de Tscharner à la Galerie JeanRoch Dard à Bruxelles

Robert Holyhead à la Galerie Max Hetzler à Paris


Jean-Baptiste Bernadet, série Untitled, 80x80cm, céramique, 2016 – Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Almine Rech

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Pas adulte. Pas encore. On lui retire donc toute responsabilité conséquente, dans l’attente d’une probable majorité. Toujours diminué. Réduit en permanence. Il qualifierait un élément de faible importance. Même la musique le voudrait un demi-ton en-dessous. Il reste une petite chose, nécessairement soumise à l’autorité des autres. Son infériorité l’éloigne des règles, pour finalement lui conférer une indépendance inouïe. Il pointe des pratiques humiliées par les catégories. Leur dissonance hiérarchique en fait aujourd’hui, le centre de toute notre considération.

Always, always, others au Mumok – Museum moderner kunst stiftung ludwig wien à Vienne

Steve Reinke chez Isabella Bortolozzi à Berlin

Giorgio Griffa à la Fondation Vincent van Gogh Arles à Arles

L’almanach 16 au Consortium à Dijon

Cécile Noguès à la Galerie Alain Gutharc à Paris

Maurizio Cattelan & Pierpaolo Ferrari à la Galerie Emmanuel Perrotin à Paris

Betty Woodman à l’Ica – Institute for contemporary arts à Londres

cécileCécile Noguès, Saiton seugon – détail, 2016 – Courtoisie de l’artiste et de la galerie

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

De l’habit à empiècements à l’amplitude d’un carrière picturale, il s’agit de tout faire, et jusqu’au bout. L’étymologie du beau mot affirme la double nécessité d’une fabrication et de sa complétude. La besogne de cette affaire consiste donc à la conduire à l’aboutissement en en assumant toutes les étapes. Entre chiffon et tambouille, ce numéro s’aventure dans la correspondance un peu grotesque qu’entretiennent les figures de la dame à ouvrages et du maestro macho, drames du genre. Travaux d’aiguille et pinceaux couillus pointent ainsi vers du qualitatif couture aux séries normalisées.

Anthea Hamilton chez Shanaynay à Paris

Lara Schnigter à la Modern art Gallery à Londres

Van Gogh Live ! par Bice Curiger à la Fondation Vincent van Gogh Arles à Arles

Dries van Noten aux Arts décoratifs à Paris

Michaël Borremans par Jeffrey Grove à Bozar à Bruxelles

Gerhard Richter par Hans Ulrich Hobrist à la Fondation Beyeler à Riehen

Howard Hodgkin à la Galerie Gagosian à Paris

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Elizabeth Peyton, Silver bosie, 1998 – Courtoisie de l’artiste

Le numéro complet est disponible sur abonnement.