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Archives de Tag: Galerie Dépendance

Le temps minéral nous oblige à un recul existentiel sur le cours des choses. L’humanité y représente un infime détail, bien que le déclic antropocénique dont elle est responsable est aujourd’hui grandement considéré. Pendant ce temps, des phénomènes d’usure continuent à façonner le rendu des surfaces et la stratification des épaisseurs.

Sarah Sandler par Xavier Jullien au Centre d’art Madeleine-Lambert à Vénissieux

Alma Allen à Mendes Wood DM à Bruxelles

Lucie Stahl à Dépendance à Bruxelles

Bianca Bondi chez Mor Charpentier à Paris

Guillaume Dégé au Nouvel Institut Franco-Chinois à Lyon

Hamish Pearch à Sans titre (2016) à Paris

Laurent Le Deunff au Mrac Occitanie à Sérignan

50de470a-3e76-ce8e-4e7b-cb2ed27ec18bSarah Sandler, Sister, 78 x 33 cm, impression 3D de grès, 2021 | Courtoisie de l’artiste et du Centre d’art Madeleine-Lambert (Vénissieux), crédit photographique archives personnelles

Ouverture ménagée pour faire respirer une zone autrement privée de lumière, cette bouche est une interface avec l’extérieur. Elle demeure l’instrument du souffle, propice au courant d’air. Sa béance nécessite l’applique d’un filtre, grille autant technique que décorative. Écran, châssis, treillage, ces incontournables croisillons découpent en permanence la perspective, peu importe le côté de la lucarne où l’on se trouve.

Noël Dolla à la Galerie Bernard Ceysson à Paris

Blind architecture par Douglas Fogle à la Thomas Dane Gallery à Londres

Eva Nielsen à l’Espace d’art Camille Lambert à Juvisy-sur-orge

Simon Hantaï à la Timothy Taylor Gallery à Londres

Maisons fragiles à la Hauser & Wirth Gallery à Londres

Sergej Jensen à la Dépendance Gallery à Bruxelles

Dan Walsh à la Galerie Xippas à Paris

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Eva Nielsen, Roskilde, encre, acrylique, sérigraphie, toile, 2015 – Courtoisie de l’artiste

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Alors que l’orage définissait une atmosphère chargée, frôlant le sublime, nous suivrons ici les éclairs. Ces phénomènes physiques tranchent furtivement l’obscurité pour nous éblouir. Leur intensité lumineuse sature les visions. Ils bousculent notre système oculaire, brutalement. Frénétique et austère, cette sélection s’articule autour de quelques grandes expositions, récentes, particulièrement estimables. Et ces décharges libèrent une très belle énergie.

France Valliccioni au Treize à Paris

Nicolas Roggy à la Galerie Crèvecoeur à Paris

Thomas Fougeirol à la Galerie Praz-Delavallade et à la Galerie Saint-Séverin à Paris

Faces à la Galerie Dépendance à Bruxelles

After Images au Musée Juif de Belgique à Bruxelles

Larry Bell au Carré d’Art à Nîmes

Process(ing) à la Galerie Emmanuel Perrotin à Paris