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Archives de Tag: Galerie Christophe Gaillard

Elle est avant tout un mélange. Impure, elle n’aurait pas la noblesse d’autres morceaux, alors on l’utilise pour farcir et pour farcer. En cuisine comme en littérature, elle accompagne, elle divertit. C’est un intermède de chair. Il amuse par la bouche, au rayon charcuterie, en lisière de liturgie.

Thomas Schütte à Tucci Russo à Turin

Rachel de Joode chez Christophe Gaillard à Paris

Genesis Belanger chez Perrotin à Paris

Finger Bang par Genesis Belanger & GaHee Park chez Perrotin à Paris

Diane Dal-Pra à la Galerie Derouillon à Paris

Earthseed par Susanna Greeves chez White Cube à Paris

Henrik Olesen à la Galleria Franco Noero à Turin

Henrik Olesen, I am nervous, 40 x 50 cm, oil on canvas, painter butter, paper, tape, 2022 | Courtoisie de l’artiste et Galleria Franco Noero (Turin)

Le terme désigne tout simplement l’odeur de la terre après la pluie. Croisant chimie et minéralogie, ce phénomène s’explique notamment par la présence sur le sol d’un liquide huileux sécrété par certaines plantes, absorbé par les roches argileuses puis révélé en aérosol lorsque des gouttes tombent sur ces surfaces. Une averse légère amplifiera cette atmosphère.

Pierre Tal Coat chez Christophe Gaillard à Paris

Lucien Petit à la Nendo Galerie à Marseille

Asad Raza à Portikus à Frankfurt-am-Main

Horizones par Clément Dirié à la Fondation d’entreprise Ricard à Paris

Jean Painlevé par Pia Viewing à Jeu de Paume à Paris

Toucher Terre à la Fondation Villa Datris à L’Isle-sur-la-Sorgue

Pierre Bellot chez Art : Concept à Paris

3743103b-5e6b-b9c7-f1ba-8b3f64016b14Hélène Bertin, On regarde toujours le même soleil, 2022 | Courtoisie de l’artiste, crédit photographique Aurélien Mole

À la fois bien garnie et potentielle gifle, substantif et adjectif, il arrive même qu’on se prenne sa crème en plein visage. Son épaisseur prête à entarter alimenta ainsi une mécanique efficace du burlesque. Alors on en rajoute une couche, on gratine encore un peu la convenance. Quitte à être quiche.

Aurore-Caroline Marty par Émilie d’Ornano à Kommet à Lyon

Temple du bon goût par Éléonore Levai à Chapelle XIV à Paris

Clémence Van Lunen chez Polaris à Paris

L’incarnation du voir chez Christophe Gaillard à Paris

Johan Creten chez Almine Rech à Bruxelles

Antoine Château à Bikini à Lyon

Shirley Jaffe au Centre Pompidou à Paris

d14c259a-1192-1824-13f2-08a578023415Aurore-Caroline Marty, Divine beauté (détail), 2022 | Courtoisie de l’artiste, crédit photographique Lam Son Nguyen

C’est par la fête, que les religions exerceraient leur plus forte influence. La croyance doit en effet réunir, et des formes de cohésion sociale ont réussi à installer la paix grâce à la perpétuation démonstrative de mystères. Il existe donc un champ d’investigation consacré à l’étude des rites.

Belkis Ayón par Cristina Vives au Museo Reina Sofía à Madrid

Zoe Williams à Ciaccia Levi à Paris

Michel Journiac à la Galerie Christophe Gaillard à Paris

Elmar Trenkwalder à la Galerie Bernard Jordan à Paris

Les Flammes par Anne Dressen au MAM Paris à Paris

Ōtagaki Rengetsu par Ricard Bru & John Stevens au Monestir de Pedralbes à Barcelone

Vincent Martial à Mécènes du Sud Montpellier-Sète à Montpellier

Belkis Ayón, La cena, 141 x 301.5 cm, collagraphie sur papier, 1991 | Courtoisie Estate de Belkis Ayón (La Havane)

Le corps est là. Sur place, des êtres physiques se côtoient et partagent un même espace concret. Mais si la qualification de ce mode de rencontre est nécessaire, c’est qu’une suspicion de virtualité persiste. La présence relativise aujourd’hui la distance. Alors, nous figurons.

ORLAN à la Galerie Ceysson & Bénétière à Paris

Antoine Renard à la Galerie Nathalie Obadia à Paris

Sarah Lucas par Éric Troncy au Consortium Museum à Dijon

00s. Collection Cranford par Vincent Honoré au MO.CO. Hôtel des collections à Montpellier

Marcel Bascoulard à la Galerie Christophe Gaillard à Paris

Les yeux clos à la Galerie Perrotin à Paris

Alex Foxton à la Galerie Derouillon hors-les-murs à Paris

Antoine Renard, Impressions, après Degas (#014), 61 x 37 x 24 cm, 3D printed ceramic, metal, fragrances (ambrarome, ylang ylang, vatican colonia, tabacco), metal bracket, 2020 | Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Nathalie Obadia (Paris), crédit photographique Bertrand Huet / tutti image © L’artiste

Elle marque une distance, qui affirme à la fois la domination et la protection. C’est une corde destinée à tenir attaché. Elle peut dresser un cheval ou assurer un alpiniste. Sa double acception inflige la soumission tout en évitant la chute. Servitude et sécurité. L’équipement complète le cuissard, le harnais, le baudrier, le mousqueton, le mors, la courroie, dans de nombreux domaines allant de l’équitation à la spéléologie. C’est une lanière de cuir que l’on fixe à la patte d’un oiseau de proie. Par extension dans une forme d’argot, le terme indique une année passée au bagne, voire l’âge d’une personne, traduisant une durée pénible. À la boucherie, il s’agit aussi d’un morceau de carcasse que le débiteur tranche depuis l’épaule jusqu’à la queue, soit une moitié d’échine.

Leonor Antunes par João Ribas au Pavillon portuguais / Palazzo Giustinian Lolin à Venise

Marina Stanimirovic à la Galerie Tator à Lyon

Dysfunctional par Carpenters Workshop Gallery à la Ca’ d’Oro à Venise

Atelier Van Lieshout chez Gió Marconi à Milan

Lucie Stahl chez Freedman Fitzpatrick à Paris

g = 9,8 N.kg-1 à la Galerie Christophe Gaillard à Paris

Jannis Kounellis par Germano Celant à la Fondazione Prada à Venise

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Leonor Antunes, a seam, a surface, a hinge, or a knot, 2019 | Courtoisie de l’artiste, crédit photographique Nick Ash

Il existe une plastique de la sollicitude. Et le tourment sait particulièrement malaxer nos corps en en triturant la chair. Ce type d’angoisse n’est déclinée qu’au pluriel, tant ses souffrances sont vastes. Et malgré le poids que cette préoccupation fait peser, elle nous plonge dans un état de préférence liquide. Les reliefs y sont relatifs. C’est une immense horizontalité qui écrase et au mieux, éclabousse un peu.

Samuel Hindolo par Chapter NY chez Carlos/Ishikawa à Londres

Poésie prolétaire par François Piron à la Fondation d’entreprise Ricard à Paris

Nicole Eisenman à la Staatliche Kunsthalle Baden-Baden à Baden-Baden

Il n’est pas à la beauté (…) à la Galerie Christophe Gaillard à Paris

Ulay par Birte Kleemann à la Richard Saltoun Gallery à Londres

School of Pain par Michal Novotný à Art in General à New York

Pierre Bonnard à la Tate Modern à Londres

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Carlotta Bailly-Borg, Europe, 70 x 177 cm, acrylique sur verre, 2019 – Courtoisie de l’artiste, crédit photographique Aurélien Mole / Fondation d’entreprise Ricard (Paris)

Aujourd’hui, c’est par le glissement du doigt sur l’écran que nous déverrouillons nos téléphones ou faisons défiler un diaporama. Pour cela, encore faut-il avoir les mains propres. L’ère tactile nous fait effectuer des chorégraphies dictées par des interfaces électroniques, auxquelles nous obéissons. Nous ne pressons plus, nous effleurons, tout en opérant dans ce cas un mouvement latéral. Avec un certain expressionnisme, la couleur s’étale.

Bernard Frize chez Simon Lee à Londres

Howard Hodgkin à la Gagosian Gallery – Grosvenor Hill à Londres

Adrian Ghenie à la Galerie Thaddaeus Ropac à Paris

En couleurs par Edouard Papet au Musée d’Orsay à Paris

Rachel de Joode à la Galerie Christophe Gaillard à Paris

A forest chez Arcade à Londres

Leslie Vance chez Herald St à Londres

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Howard Hodgkin, Knitting Pattern, 33.7 x 38.7 cm, huile sur bois, 2015-16 – Courtoisie Gagosian Gallery, crédit photographique Lucy Dawkins © Howard Hodgkin Estate

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Il existe un art sourcilleux du cordage. Bien-sûr ses amateurs jouissent d’une visibilité en certains milieux lorsqu’ils saucissonnent les chairs. La sophistication du nœud s’applique pourtant en une diversité de situations telles que l’intervention chirurgicale, la greffe horticole, l’invention typographique, la croche musicale, la sorcellerie médiévale, la navigation maritime ou la conjonction grammaticale. Toujours, des tensions sont à maîtriser pour atteindre une satisfaction qui requiert une volontaire dextérité.

Leonor Antunes à la Marian Goodmann Gallery à Londres

Pierre Molinier par Gaspar Noé à la Galerie Christophe Gaillard à Paris

Daughters of necessity par Serena Korda à The Hepworth Wakefield à Wakefield

Kate Newby chez The Sunday Painter à Londres

Thomas Bégin à la Galerie Tator à Lyon

Ormai à la Galerie Balice Hertling à Paris

Phoebe Collings-James chez Arcadia Missa à Londres

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Leonor Antunes, a thousand realities from an original mark , 2018 – © L’artiste, courtoisie de l’artiste et de la galerie, crédit photographique Nick Ash

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Novembre oblige, portons une nouvelle fois notre attention sur l’actualité de l’image mécanique. Et n’ayant fait aucune foire ni événement spécifiquement labellisés Photo en ce mois pourtant consacré, il s’agira surtout de nous enthousiasmer d’expositions personnelles en capitales. La passion des images peut prendre différentes formes et c’est vers son exploitation la plus flagrante en tant que matériau machinique et obstiné, que nous allons nous aventurer aujourd’hui.

Ari Marcopoulos à la Galerie Frank Elbaz à Paris

Calla Henkel & Max Pitegoff chez Cabinet à Londres

Wade Guyton à la Serpentine Gallery à Londres

Kelley Walker à la Thomas Dane Gallery à Londres

Keith Vaughan chez Austin Desmond Fine Art à Londres

Espace privé à la Galerie Christophe Gaillard à Paris

Thomas Ruff à la Whitechapel Gallery à Londres

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Calla Henkel & Max Pitegoff – Courtoisie Cabinet, London

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Saltimbanques et baladins peuvent se rhabiller. L’espace public est une attraction en soit. Il suffit de décider de le regarder. Sans divertissement supplémentaire, un bout de trottoir réussit à dresser le portrait en réserve d’une civilisation. Aujourd’hui au cœur de notre attention, l’extérieur en représentation.

Eva Nielsen à la Galerie Jousse à Paris

A rising tide lifts all boats chez Union Pacific à Londres

Walker Evans par Clément Cheroux au Centre Pompidou à Paris

Anna Ročňová par Tereza Jindrová chez Hunt Kastner à Prague

Dave Hardy à la Galerie Christophe Gaillard à Paris

A different way to move par Marcella Lista au Carré d’art – Musée d’art contemporain à Nîmes

Ian Kiaer à la Galerie Marcelle Alix à Paris

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Eva Nielsen, Zode, 200 x 260 cm, encre, huile, acrylique, toile, 2017 – Courtoisie de l’artiste et la Galerie Jousse

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Le phénomène tectonique participe à la création des îles. Une croûte s’enfonce sous une autre et opère un plissement aux abysses qui échauffe la matière. Celle-ci une fois en fusion, explose à la surface en un volcan faisant bouillir les eaux. Avec la violence d’une naissance, un nouveau territoire se crée.

Takuro Kawata chez Alison Jacques à Londres

Letha Wilson à la Galerie Christophe Gaillard à Paris

Lanzarote chez Union pacific à Londres

Richard Serra à la Gagosian gallery Britannia st à Londres

Amélie Giacomini & Laura Sellies par l’Iac au Gac à Annonay

Markéta Souhradová par Tereza Záchová à 35M2 à Prague

Michael Dean dans le cadre du Turner Prize 2016 à la Tate britain à Londres

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Amélie Giacomini & Laura Sellies, Insula dulcamara, 2016 – Courtoisie des artistes, crédit photographique Blaise Adilon

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Certains cultivent un appétit encyclopédique à vouloir ranger le monde. L’art de faire des cases. Et d’y ordonner les choses. C’est une énergie des Lumières qui rayonne ici. L’impératif du savoir conduit alors le surgissement des formes, ne serait-ce que pour mieux s’y ranger. Avec fermeté.

Oriol Vilanova au M – Museum Leuven à Leuven

Tal R à Cfa – Contemporary fine arts à Berlin

Hannah Whitaker à la Galerie Christophe Gaillard à Paris

Claude Rutault & Allan McCollum chez mfc – michèle didier à Paris

Till it’s gone par Çelenk Bafra & Paolo Colombo à Istanbul modern à Istanbul

Jocelyn Wolff & Jean-David Cahn at Independent 2016 à Bruxelles

Arnaud Vasseux à La galerie particulière à Bruxelles

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Oriol Vilanova, Anything, everything, cartes postales, 2015-16 – Courtoisie de l’artiste, crédit photographique Dirk Pauwels

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Être là. Et formuler cette juste présence. Même endroit, même instant. La retransmission d’une telle circonstance peut s’avérer précieuse. Et son potentiel descriptif fera histoire. Pour cibler les indices, la photographie sera notre médium, avec toute la dimension fictionnelle qui a toujours été la sienne. Le noir et blanc est y privilégié, sans être exclusif, pour isoler au mieux l’information. Fiabilité, crédibilité, véracité, peuvent relativiser toute affirmation. Peu importe ici son degré d’exactitude puisque par l’image qu’elle produit, elle existe.

Luc Delahaye à la Galerie Nathalie Obadia à Paris

Conflict – Time – Photography à la Tate modern à Londres

Miroslav Tichý à la Galerie Christophe Gaillard à Paris

Aurélien Froment au Frac Ile-de-France – Le plateau à Paris

Lukas Hoffmann à la Galerie de Roussan à Paris

Constructing worlds au Barbican centre à Londres

Hiroshi Sugimoto à la Pace Gallery à Londres

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Lukas Hoffmann, Fassade bei Bochum, 47×33.5cm, tirage argentique sur papier baryté, 2014 – Courtoisie de l’artiste et de la Galerie de Roussan, Paris

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Avec sa résonance coquine, voilà une surface à pénétrer. Son voile superficiel cherche diverses stratégies pour offrir les profondeurs qu’il prétend recouvrir. Hymen. C’est toute l’histoire de la représentation qui titille une interface prometteuse faisant image, une pellicule magique. Cette membrane apéritive prend pour mission de révéler ou protéger un intérieur, peut-être périssable sans couverture. L’œuvre reste à découvrir.

Letha Wilson à la Galerie Christophe Gaillard à Paris

Walead Beshty au Babrican centre – The curve à Londres

Kodak grey, green screen à la Galerie Dominique Fiat à Paris

Inside au Palais de Tokyo à Paris

Karla Black à la Modern art gallery à Londres

Lisa Duroux chez Couac à Villeurbanne

Daiga Grantina à la Galerie Joseph Tang à Paris

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Eva Nielsen, Lucite II, 190x140cm, encres, impression, acrylique, toile, 2014 – Courtoisie de l’artiste et de la galerie

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Électrons, bits et lumens se répandent pour nous emporter dans des flots de fictions. Un débit exponentiel arrose nos moniteurs. Les artistes travaillent à le canaliser, formulent des œuvres qui concentrent cette énergie présente, et s’en font le réservoir manifeste. Qu’il s’agisse de données, d’enthousiasme ou de lumière, endiguer l’écoulement est nécessaire pour mieux jouir de ses qualités.

Ryan Trecartin par Kevin McGarry sur Vdrome en ligne

Entre-temps… Brusquement, et ensuite par Gunnar B. Kvaran en cinq lieux à Lyon

David Douard aux Églises à Chelles

à la Galerie High art à Paris

Les méprises par Sarah Holveck au Collège François Villon à Paris

Thomas Mailaender à la Galerie Bertrand Grimont à Paris

Hannah Whitaker à la Galerie Christophe Gaillard à Paris

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David Douard, Glory hole, 12′, vidéo, 2013 – Courtoisie de l’artiste

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Le périssable secoue par définition la vision d’un art immuable conçu pour inscrire l’Être dans une relative éternité. En prenant le vivant comme matériau, différents artistes provoquent de front cette aspiration classique, avec une sincérité qui reste encore à interroger. Plutôt émancipés des questions de conservation, ces créateurs modèlent des pièces en anticipant leur dégénérescence. Deux quinquagénaires français mènent cette file avec une importante actualité pour chacun d’entre eux, étalée sur quelques mois pour le second et synchronisée pour le premier. Leurs œuvres colorent ainsi la scène parisienne d’une fascination pour le vivace partagée par plusieurs de leur confrères, et hissent le mythe de Nature comme préoccupation fondamentale, alors que notre condition paraît indéniablement nous en éloigner, que nous mangions bio ou non.

Camille Henrot chez Rosascape et à la Galerie Kamel Mennour à Paris

Fabrice Hyber au Palais de Tokyo à Paris

Nicolas Boulard au Frac Alsace – Fonds régional d’art contemporain à Sélestat

Par nature au 104 à Paris

Michel Blazy au Plateau / Frac Ile-de-France – Fonds régional d’art contemporain à Paris

La tradition du dégoût par Vincent Labaume à la Galerie Christophe Gaillard à Paris

Mimosa Echard à la Maba – Maison d’art Bernard Anthonioz à Nogent-sur-Marne

Mimosa Echard, Fleurs, 2012 – Courtoisie de l’artiste