archive

Archives de Tag: David Roberts Art Foundation

En argot bien français, le terme désigne une viande suspecte voire une chair vendue. L’épais bifteck se retrouve au cœur des loisirs de la grillade. Cet aspect carnivore résonne avec un anglicisme prônant la jouissance de plein contact. La pratique sexuelle emprunte son nom à une virtuosité d’équitation consistant à chevaucher sa monture sans selle, à cru.

Athena Papadopoulos par Emalin à Paris Internationale 2017 à Paris

(X) A Fantasy à DRAF London à Londres

Jean Hélion à la Galerie Malingue à Paris

Guillaume Leblon à la Galerie Jocelyn Wolff à Paris

Joanna Piotrowska chez Southard Reid à Londres

Derain, Balthus, Giacometti – Une amitié artistique au Musée d’art moderne de la Ville de Paris

La nuit avant les forêts à Doc à Paris

b4489e12-4178-4196-9d67-8646501b166d
Carlotta Bailly-Borg, Flat walk, 140 x 160 cm, acrylique sur toile, 2017 – Courtoisie de l’artiste

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

De l’immense bacchanale au duvet que l’on déroule en urgence, l’hospitalité s’incarne en différents degrés consistant toujours à ouvrir sa porte. Loger et nourrir l’étranger est dans certaines sociétés, une obligation régie par des conventions bien tracées. Plus généralement, elle relève aujourd’hui d’un subtile équilibre entre l’assistance à autrui et la sécurité de soi.

Eleanor Antin à la Richard Saltoun Gallery à Londres

Zoe Williams à DRAF Studio à Londres

Bloomsbury Art & Design à The Courtauld Gallery à Londres

Daniel Spoerri à la Galerie Anne Barrault à Paris

Susan Cianciolo chez Modern Art Stuart Shave à Londres

Tom Burr à Westfälischer Kunstverein à Münster

Levitt France, une utopie pavillonnaire par Béatrice Andrieux au Magasin électrique à Arles

ef083429-3cde-4d44-b194-5a8d51f17796
Zoe Williams, Performance Ceremony of the Void, DRAF Studio, 2017 – Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Antoine Levi Paris, crédit photographique Dan Weill

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Certaines invocations savent réveiller ce qui sinon, sommeille. Avec monotonie parfois, avec obstination toujours, ce débit n’existe que par sa foi. En répétant une formule, de rien, la chose advient.

Piotr Makowski à la Galerie Antoine Levi à Paris

Emmanuel van der Meulen à la Galerie Allen à Paris

Lucio Fontana à la Galerie Karsten Greve à Paris

Golem ! au Musée d’art et d’histoire du judaïsme à Paris

Philip Guston chez Hauser & Wirth à Londres

Metamorphosis par Zdenek Felix chez Svit à Prague

(Enter – Greek chorus into the echo chamber) à la David Roberts Art Foundation à Londres

62a3a67c-e645-40f7-bc0b-49962bf05e8c
Lucio Fontana, Crocifisso, 42 x 27 x 11.5 cm, céramique polychrome, 1948 – Copyright Fondazione Lucio Fontana by SIAE 2017, courtoisie Galerie Karsten Greve et crédit photographique Saša Fuis

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Le froid n’est pas qu’une question de température. Des couleurs lumineuse et frigorifiques imbibent un nouveau climat. Son atmosphère électrique ne se répand pas dans cette classique canicule des sens. Sa sauvagerie est autre. La glace a sa propre fougue. De cette contenance à la gravité permanente, simultanément douée d’entrain.

Roy da Prince par Michal Novotný à Futura à Prague

Cold sweat à La plage à Paris

Tala Madani par Nicolas Bourriaud à La panacée à Montpellier

Abbas Akhavan à la David Roberts Art Foundation à Londres

Franziska Lantz par Supportico Lopez chez Rodeo pour Condo 2017 à Londres

Retour sur Mulholland drive par Nicolas Bourriaud à La panacée à Montpellier

Huma Bhabha à la David Roberts Art Foundation à Londres

ef5c2d34-99fd-45be-8262-d4ecf87e2931
Max Hooper Schneider, Cold war dishwaher (Uranium glass), 2015 – Lafayette anticipation Fonds de dotation Famille Moulin, Paris

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Allez, vogue. Laisse ton corps bouger sur la musique, bouger sur la musique. Hé, hé, hé. Allez, vogue. Laisse ton corps être porté par le flow, porté par le flow. Tu sais que tu peux le faire. Tout ce dont tu as besoin, c’est ta propre imagination. Alors utilise-la, c’est pour ça qu’elle est faite. C’est pour ça qu’elle est faite. Cherche à l’intérieur, ton inspiration la plus profonde. Tes rêves ouvriront la porte, ouvriront la porte. Il n’y a aucune différence, si tu es es noir ou blanc. Si tu es un garçon ou une fille. Si la musique bouge, cela te donnera une nouvelle vie. Tu es une superstar, oui, c’est ce que tu es, tu le sais.

Jacopo Miliani à la David Roberts Art Foundation à Londres

Simon Fujiwara à The photographers’ gallery à Londres

John Currin chez Sadie Coles HQ – Davies st à Londres

Lynette Yiadom-Boakye à la Kunsthalle Basel à Bâle

Les sept périls spectraux par Emeline Dupas à la Galerie Arnaud Deschin à Paris

Urs Fischer à la Fondation Vincent van Gogh Arles à Arles

Walasse Ting au Musée Cernuschi à Paris

ccd391d9-e737-43a9-9ebb-090164823218
Jacopo Miliani, Throwing balls at night, performance, extraits de la captation, 2016 – Courtoisie de l’artiste et de Draf London, crédit photographique Reynir Hutber – Thisistomorrow

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Le corps est imbibé d’informations, aujourd’hui plus encore. Ses interfaces sont des voies navigables. Il s’agit de ne plus se complaire de la simple surface. Au-delà de la peau, il y a une profondeur à tutoyer. Pénétrons sa sensibilité.

Dorothea Tanning chez Alison Jacques à Londres

Body holes Paul Barsch & Tilman Hornig en ligne sur Newscenario.net

Streams of warm impermanence par Vincent Honoré à la David Roberts art foundation à Londres

Donna Huanca à la Zabludowicz collection à Londres

Julia Phillips chez Campoli Presti à Londres

Marisa Merz à la Thomas Dane Gallery à Londres

Aimee Parrott chez Breese Little à Londres

22ecdb17-f9ac-4fdc-9ffb-8d1b5805ce93
Justin Fitzpatrick, Sehnsucht (For John Craxton), 2016 – Courtoisie de l’artiste

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Terme vieilli du toucher, c’est le sens-même du contact. Il peine à trouver sa place dans le monde des arts visuels où règne l’œil. Cela devient d’ailleurs presque agaçant que d’autres organes cherchent à se glisser là où la jouissance du regard satisfait pleinement. La performance sait bousculer les hiérarchies en donnant forme au vivant et à sa capacité à prendre. La peinture toujours, émeut par la vivacité de certaines pattes, qui par la manifestation du trait de pinceau, sculpte l’épiderme de la toile. Alors que le doigté demeure une délicatesse plus qu’un attouchement concret, gardons les mains derrière le dos et les yeux bien ouverts.

Stuart Brisley à Draf – David Roberts art foundation à Londres

Performing for the camera à la Tate modern à Londres

Daria Martin à la Maureen Paley Gallery à Londres

Prière de toucher au Museum Tinguely à Basel

Helena Almeida au Jeu de paume à Paris

Henni Alftan à Iconoscope à Montpellier

Elizabeth Peyton à la Sadie Coles Gallery à Londres

henni
Henni Alftan, The auction, 73x92cm, huile, toile, 2015 – Courtoisie de l’artiste

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Il faut célébrer les merveilles. Retrouvons ici de précieuses initiatives optimisant leur contexte de réception, pour bénéficier des meilleures circonstances de contemplation. Notre intitulé sonore désigne à la fois la substance et l’outil pour coller amplement la surface d’une chose sur une autre. Adhérence. Adhésion.

Marc Camille Chaimowicz par la Andrew Kreps Gallery à la Fiac 2015 au Grand palais à Paris

Albert the kid is ghosting à la Draf – David Roberts art foundation à Londres

Thomas Demand à la Sprüth Magers Gallery à Londres

C’est la vie ? chez Occidental temporary à Villejuif

Jagna Ciuchta par La salle de bains à Paris internationale 2015 à Paris

Arturo Herrera à la Thomas Dane Gallery à Londres

One more time par Christian Bernard au Mamco à Genève

jagna
Jagna Ciuchta, Aaaahhh!… n°1 (Missing Alina, After the exhibition “Alina Szapocznikow : Sculpture Undone, 1955-1972”, WIELS, Contemporary Art Centre, Brussels, 2012, curated by Elena Filipovic and Joanna Mytkowska, scenography by Kwinten Lavigne.), 59x40cm, acrylique, tirage jet d’encre,
papier baryté, 2015 – Courtoisie de l’artiste

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Bien avant de désigner l’habituelle rondelle des catholiques, le terme caractérise dans l’Antiquité, les victimes expiatoires offertes aux dieux. Transsubstantiation séculaire. Il s’agit toujours d’un sacrifice ostentatoire, qui au-delà de l’action-même de l’offrande, existe pour se faire voir des autres en se manifestant de la manière la plus spectaculaire. Le présent numéro témoigne d’une actualité de la performance, non pas que celle-ci soit soudainement plus visible, mais le médium semble trouver de nouvelles configurations aiguisant son ancrage plastique. Rien d’une conversion ici car la plupart des évènements du genre demeurent des endurances poussives et de triviales frontalités lors desquelles l’obscénité continue de prendre en otage. Il faut admettre que l’évidence d’une présence sait parfois trouver d’heureuses formulations. Sachons alors la cueillir.

Eddie Peake au Barbican art centre – The curve à Londres

Paulin, Paulin, Paulin à la Galerie Perrotin à Paris

An evening of performances à la Draf – David Roberts art foundation à Londres

Body shop à la Michael Werner Gallery à Londres

Valse opale par Vincent Honoré pour Paris internationale à  Paris

Florence Peake à Space à Londres

Performance process au Centre culturel suisse à Paris

eddie1
Eddie Peake, The forever loop, 2015 – Courtoisie de l’artiste et crédit photographique Tristan Fewings

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Surgissement lacrymogène. Impulsion franche. L’onomatopée reproduit une production rapide de gaz et son écoulement tourbillonnaire dans un orifice de petite taille. L’aérienne éclaboussure propulse ses particules sur une surface, vandalisée sans contact. Son recouvrement est partiel, il demande une certaine obstination pour aboutir à l’opacité homogène, rarement visée par un procédé aérographe justement apprécié pour la douceur de l’estompage que ses postillons permettent. Il s’agit de savoir ne pas trop en mettre.

Isabelle Cornaro à Outpost à Norwich

Revelations au Science museum à Londres

Sprayed par Jona Lueddeckens & Greg Bergner à la Gagosian gallery à Londres

Sterling Ruby à la Draf – David Roberts art foundation à Londres

Unfinished… à la Courtauld gallery à Londres

Nicolas Delprat à la Galerie Odile Ouizeman à Paris

Larry Bell à la White cube gallery – Mason’s yard à Londres

Pschitt
Isabelle Cornaro, Golden memories, 2015 – Courtoisie de l’artiste, crédit photographique Andy Crouch

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

La luxuriance prédomine dans cet élan présent. La quantité d’éléments en jeu ne doit pas minimiser leur excellence. Et cet appétit ne signifie pas non plus un sans-dessus-dessous systématique. L’apparente épaisseur résulte au contraire de choix déterminants. Arrêtons de confondre générosité et foutoir. La joie des associations, le goût pour la superposition, l’énergie du collage, sont autant de manières de célébrer le contact dans sa version orgiaque. J’avoue un plaisir évident à partager le contenu de ce numéro, qui correspond particulièrement cette semaine à mes propres satisfactions.

Prochainement ici à l’Espace Verney-Carron à Lyon

Roe Ethridge chez Greengrassi à Londres

The violet crab par Than Hussein Clark à la Draf – David Roberts art foundation à Londres

Arnaud Labelle-Rojoux à la Galerie Loevenbruck à Paris

The grantchester pottery paints the stage au Jerwood space à Londres

Johannes Nagel au New art centre à Roche Court

Isabelle Cornaro à la South London Gallery à Londres et à Spike Island à Bristol

prochainementici
Gaëlle Choisne sur Octave Rimbert-Rivière, Prochainement ici, 2015 – Courtoisie des artistes

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Condamnée à demeurer, cette situation frôle la captivité. Elle est la condition cinématographique du drame, la définition du théâtre enfermé entre des murs dont nous sommes le quatrième. Tout ici est tourné vers le dedans, subissant l’unité d’une force centripète dont le magnétisme exclut les perspectives extérieures. Mais ces cellules sont riches d’indices, animées d’objets que le confinement rend encore plus enivrants. Et ces systèmes fermés obligent l’énergie à circuler en boucle, pareille et différente à chaque fois, se renouvelant en autarcie, de l’intérieur.

Neïl Beloufa par Mihnea Mircan à la Fondation d’entreprise Ricard à Paris

Geographies of contamination à la David Roberts art foundation à Londres

Venez fruits pressés par Rosanna Puyol à La manutention à Paris

Haim Steinbach à la Serpentine gallery à Londres

Richard Hamilton à la Tate modern à Londres

Anthony Caro au Musée Würth à Erstein

Camille Henrot à la Chisenhale gallery à Londres

caro
Anthony Caro, vue de l’exposition Œuvres majeures de la collection Würth, 2015 – Courtoisie de l’artiste et de la collection, crédit photographique Philipp Schönborn

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Doté d’une polysémie riche, ce mot accorde l’ensemble de ses significations au registre de l’éclat. Résultant d’un polissage volontaire, ladite brillance reçoit diverses appréciations contradictoires, depuis la manifestation d’une valeur sûre, jusqu’à l’indice d’une suspicion incontournable. Elle signale au pire, la vulgarité. Signe de l’opulence, elle assure les moyens du propre et de l’apprêt. Ses reflets affirment au mieux, une préciosité délicatement dosée, enveloppant d’une même lumière les ors, les nacres et le reste.

Jan Dibbets à la Galerie Nelson à Paris

Anselm Reyle au Magasin à Grenoble

Roulez carrosses ! par Béatrix Saule à l’Abbaye Saint-Vaast – Musée des beaux-arts à Arras

Candida Höfer à la Ben Brown Gallery à Londres

Mat Collishaw à la BlainSouthern Gallery à Londres

Le cabinet fantôme dans un atelier à l’Ile-Saint-Denis

Benoît Maire par Vincent Honoré à la Draf – David Roberts art foundation à Londres

Messages envoy&AOk-s-1842

> Jonathan Martin, Soleil bleu – Los Angeles, photographie, 2013

Déroutant, ce tout récent séjour londonien. Alors que la plupart de mes endroits préférés de l’East London et Camden présentaient des projets plutôt mous voire mauvais, les puissantes galeries de Mayfair affirmaient la qualité et l’audace d’une programmation qui s’étalait, en plus de leurs habituelles localisations, dans des espaces insolites ouverts spécifiquement pour la semaine foraine. Même si c’est embarrassant à dire, la dynamique était bel et bien cet automne donnée par les marchands du quartier central et huppé de la ville. L’argent semble donc dans ce contexte-là influer d’une manière attendue, et triste. Ce constat n’empêche évidemment pas l’existence d’expositions formidables. Les artistes réunis aujourd’hui ont déjà pour la plupart été évoqués dans mon support, et leur actualité trace autour de la dixième édition de Frieze art fair, un parcours justement carnavalesque, sinon sévère.

David Noonan chez Modern art – Shave Stuart Gallery à Londres

A house of leaves par Vincent Honoré à la David Roberts art foundation à Londres

Thomas Houseago à la Hauser&Wirth Gallery – Saville Row North & South à Londres

Thomas Schütte à la Serpentine Gallery à Londres

Frieze 2012 dans Regent’s Park à Londres

Oscar Tuazon à la Jonathan Viner Gallery à Londres

Franz West à la Gagosian Gallery – Britannia à Londres

> Matt Hoyt – Courtoisie Bureau New York

Avec beaucoup de bonne volonté, j’ai voulu consacrer une ultime chronique à la capitale allemande afin de clore l’habituel triptyque qui résulte de la découverte d’importantes métropoles,
à l’image de Copenhague, Delhi, Londres et New York. Mais trop de galeries empêchent cela par snobisme ou incompétence, et nous sacrifierons donc l’initiative au profit de l’actualité londonienne
qui viendra secourir l’idiote carence. Une dizaine de jours séparèrent les deux voyages, dont quelques extraits se verront donc compressés ici en un même ensemble germano-britannique.

Matti Braun à la Galeie BQ à Berlin

Aaron Angell par Meret Kaufmann à la Galerie Croy Nielsen à Berlin

Gesamtkunstwerk – New Art from Germany à la Saatchi Gallery à Londres

Jānis Avotiņš à la Ibid Project Gallery à Londres

Lydia Gifford à la Draf – David Roberts Art Foundation à Londres

Sista Pratesi à la Gimpel Fils Gallery à Londres

Donald Judd à la Sprüth Magers Gallery à Londres

Voilà une ville où l’été n’est pas un prétexte à la paresse. On connaît mon enthousiasme pour la capitale britannique, pourtant découverte il y a un an seulement. L’engouement reste vif et le témoignage de ce quatrième séjour se concentrera sur une sélection d’expositions collectives offertes ces jours-ci par la scène londonienne, où galeries et fondations maintiennent une exigence très satisfaisante.

Untitled (Evidence) à la David Roberts Art Foundation à Londres

All that glitters à la Stephen Friedman Gallery à Londres

Glaze à la Bischoff/Weiss Gallery à Londres

Sharp Surface chez Arcade à Londres

The moment pleasently frightful par Chris Sharp à la Laura Bartlett Gallery à Londres

The shape of things to come : New sculpture à la Saatchi Gallery à Londres

We will live, we will see à la Zabludowicz Gallery à Londres

Ce numéro se focalisera sur l’objet d’une excitation. Affirmant une sexualité et frôlant plus subtilement le sensuel sujet, cette série d’expositions donne à voir le corps masculin, et s’inquiète à travers lui de l’actualité de la figure virile. Orientée vers un homo-érotisme certain, cette sélection ne s’y cloisonnera cependant pas. Nous approcherons ensemble les formes que prennent aujourd’hui la représentation de l’homme, et les passions qu’elle peut engendrer.

Hilary Lloyd chez Raven Row à Londres

Robert Mapplethorpe : Night Work à la Galerie Alison Jacques à Londres

Tom Burr au Frac Champagne-Ardenne à Reims

General Idea au Musée d’Art moderne de la Ville de Paris / Arc à Paris

Gerd Rohling – Kent Monkman à la Galerie Michel Rein à Paris

Martin Dammann à la Galerie In Situ – Fabienne Leclerc à Paris

Keren Cytter à la David Roberts Art Foundation et à la Galerie Pilar Corrias à Londres