Des contenances bien trempées, s’affichent avec aisance. Une même sensibilité oscille entre le sculptural et le photographique, pour toujours révéler une assise intimidante, tant elle en impose. Son maintien enivre. Son allure impressionne. En peinture, l’imbue est la première couche visible, plus ou moins digérée par le support, à ne pas confondre avec la hantise de l’embue. Dans tous les cas, il s’agit d’un phénomène d’absorption, d’abreuvage. Tenue et pellicule contribuent à cette assurance en superficie.
Jonas Kamm aux Rencontres d’Arles 2021 à Arles
Crossover à la Galerie Vasistas à Montpellier
Manon par Claire Hoffmann au Centre culturel suisse à Paris
En miroir à la Fondation Azzedine Alaïa à Paris
Tarrah Krajnak aux Rencontres d’Arles 2021 à Arles
Scratching the surface par Marvin De Deus Ganhitas à la Galerie Derouillon à Paris
Ilse Bing à la Galerie Karsten Greve à Paris
My-Lan Hoang-Thuy, Untitled I, 10 x 9 cm, liant acrylique, peinture acrylique, impression jet d’encre, 2021 | Courtoisie des l’artiste et de la Galerie Derouillon (Paris), crédit photographique Grégory Copitet