Voilà une polysémie définitivement nourrissante, qu’elle désigne la plaque cornée formant le dessous du sabot d’un cheval, une semelle, un poisson marin au corps presque ovale couvert d’écailles fines, une pièce de charpente posée à plat, une sandale, le bois placé horizontalement en soutien, le fond d’un bateau, une jetée de plâtre exécutée à la truelle, un plancher, une unité agricole formée de parcelles consacrées à une même culture, ou la partie plane d’un four qui reçoit les produits à traiter. Elle est une surface d’accueil, où tout se tient.
Julia Borderie & Eloïse Le Gallo au GAC Annonay à Annonay
Pierre Tal Coat à la Galerie Maeght à Paris
Ruralités au Mucem à Marseille
Goni Shifron par Alexandra Fau à Fabre à Paris
Mais il y a ce lieu, qui nous maintient par Mathieu Kleyebe à Mécènes du sud à Montpellier
Arthur Aillaud à la Galerie Béa-Ba à Marseille
L’Homme qui marche à l’Institut Giacometti à Paris
Julia Borderie & Eloïse Le Gallo, Soles, 20′, vidéo, 2020 | Avec la complicité de Martin Balmand et Jean-Jacques Dubernard