« Avoir l’esprit d’innovation, c’est d’abord chercher à apporter constamment quelque chose de nouveau, à quoi personne n’a jamais pensé ou que personne n’a jamais osé imaginé. » C’est ainsi qu’est définie la notion sur un site internet consacré aux ressources humaines et ses étranges stratégies. Performance et concurrence, nous voilà plongés dans le monde vorace de l’entreprise. La question de cette course à l’exclusif retentit bien-sûr par de nombreux échos dans la milieu artistique. Les devises des villes que je parcours me font souvent sourire : entre jeu littéraire et démagogie politique, elles réduisent volontairement les caractéristiques d’une cité à quelques mots vulgarisés, légitime exercice. L’intitulé de notre chronique correspond cette semaine à celle de Grenoble, dont l’actualité culturelle, élargie à sa communauté d’agglomération, m’invita à en redécouvrir amplement la géographie, de tramways en téléphérique, le temps d’une dense journée.
Richter en France au Musée de Grenoble à Grenoble
Estefania Peñafiel-Loaiza au Centre d’Art Bastille à Grenoble
Camille Laurelli au Oui à Grenoble
Rachel Labastie à l’Espace Vallès à Saint-Martin-d’Hères
David Altmejd au Magasin à Grenoble
Gilles Balmet au Vog à Fontaine
Auguste Perret dans le Parc Paul Mistral à Grenoble