archive

Archives de Tag: Musée de Valence

Avant d’être par métonymie un synonyme de désordre d’objets, le nom désigne un ancien village de pêcheurs en Galilée, devenu grande place marchande. Mille choses ainsi s’y entasseraient. Un encombrement matérialiste règne. Un attachement aux possessions prime.

Than Hussein Clark par Marie de Brugerolle au Crac Occitanie à Sète

Casa Dolce Casa par Rosario Caltabiano chez 22.48m² à Paris

Laëtitia Badaut Haussmann à la Galerie Allen à Paris

Philippe Favier par Thierry Raspail au Musée de Valence à Valence

Gennariello (part II) par Daniele Balice chez Balice Hertling à Paris

Anna Barham chez Arcade à Bruxelles

Isa Genzken chez David Zwirner à Paris

4602e7fc-604a-4ca3-ba8c-996646d60567Than Hussein Clark, vue de l’exposition « A little Night Music (and reversals) » au Crac Occitanie (Sète) | Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Crèvecoeur (Paris), crédit photographique Marc Domage

Une étymologie opportune, méditerranéenne, invoque le vêtement d’apparat. Il s’agit de plaire en société. La résonance semble démodée. Pourtant tout y est distinction et élégance. C’est une réjouissance. Donner une fête. Recevoir. Le représentation est somptueuse, solennelle, cérémonieuse, diplomatique. L’étiquette y a ses exigences. Courtoisies et politesses sont de mise. Une ultime occasion d’être couture.

Kayode Oyo chez Balice Hertling à Paris

Gala Salvador Dalí au Museu Nacional d’Arte de Catalunya à Barcelone

Than Hussein Clark à la Galerie Crèvecoeur à Marseille

De l’autre côté du miroir. Reflets de collection au Musée de Valence à Valence

Rachel Maclean à la Zabludowicz Collection à Londres

Amélie Bertrand chez Semiose à Paris

Arthur Hoffner à la villa Noailles à Hyères

e0dd2bcb-7753-444f-9995-531cb5f60361
Amélie Bertrand, Daisy Temple, 220 x 180 cm, huile sur toile, 2018 – Courtoisie de l’artiste et Semiose galerie, Paris

Le numéro complet est disponible sur abonnement – Full issue on request

Le temps passe. Sans lassitude. Au contraire, témoigner des choses dans leur durée permet de suivre volontairement l’évolution des formes façonnées par la perpétuité. Envisager la transformation plus que la destruction, le mouvement plutôt que l’usure. Le règne minéral s’impose alors comme un terrain et une temporalité propices à toutes les métaphores en ce domaine. De cette mécanique, nourrie jour après jour par l’excitation du suivant, naît une passion forcément exponentielle.

Rebecca Digne par Alessandro Gallicchio à la Galerie Escougnou-Cetraro à Paris

Phillip King à la Thomas Dane Gallery à Londres

Être pierre par Noëlle Chabert & Jessica Castex au Musée Zadkine à Paris

Jean le Moal au Musée d’art et d’archéologie à Valence

Jessica Warboys à la Galerie Gaudel de Stampa à Paris

Subterranea par la revue Ingmar à la Galerie Florence Loewy à Paris

Ben Burgis & Ksenia Pedan par Union Pacific à Frieze London 2017 à Londres

5ec4daad-4229-4181-817c-d57a84ef5e2a
Rebecca Digne, A perdere #10, céramique, sable, corde, 2017 – Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Escougnou-Cetraro, Paris

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Deux silhouettes pétrifiées semblent partager aujourd’hui encore dans le mutisme de leur contenance, une flagrante intimité. Un volcan s’embrase. L’humanité s’embrasse. L’archéologie réussit à éveiller une sensualité inattendue. Sur la pierre, chacun projette sa sensibilité. L’étreinte, l’empreinte, amplifiées par notre imagination, restent lisibles sur tout objet sorti de terre.

Arnaud Vasseux au Frac Languedoc-Roussillon à Montpellier et à Lattara à Lattes

Dune Varela par François Cheval au Cloître Saint-Trophime à Arles

Tom Castinel & Octave Rimbert-Rivière à La bourse du travail à Valence

Eileen Quinlan à la Galerie Campoli Presti à Londres

Juana Muller dans Le couloir des curiosités au Musée de Valence à Valence

Le spectre du surréalisme par Karolina Ziebinska-Lewandowska à L’atelier des forges à Arles

Alberto Giacometti par Frances Morris & Catherine Grenier à la Tate Modern à Londres

91927bb2-c562-4637-bfa9-439aec44838c
Tom Castinel & Octave Rimbert-Rivière, La vallée dérangeante, 2017 – Courtoisie des artistes

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Légerté et désir. Cette fois, l’énergie frôle la modélisation, le mannequinat et le modelage. Et oui. Dans tous les cas, on lisse. Une manière de ne pas trop stigmatiser la céramique et la réinjecter au besoin, au sein d’une imagerie actuelle, pour ne pas dire technologique. Le corps reste une glaise à sculpter. Argile et html sont des mottes propices à l’invention d’une forme : soi.

Artie Vierkant à la New galerie à Paris

Cool memories par Myriam Ben Salah à Occidental temporary à Villejuif

Francesca Woodman à la Fondation Henri Cartier-Bresson à Paris

Mendes Wood DM at Art Basel 2016 à Basel

La mia ceramica à la Galerie Max Hetzler à Paris

Alinka Echeverría par François Cheval à La commanderie Sainte-Luce à Arles

Anne Dangar par Pascale Soleil & David Butcher au Musée d’art et d’archéologie à Valence

anne5
Anne Dangar, Bonbonnière à décor cubiste, 17x14cm, terre cuite vernissée, 1930-51 – Collection Fondation Albert Gleizes

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Célébrer le plaisir simple de la vadrouille. De prairies en péages, s’autoriser une errance sans surveillance. Une douceur imbibe cette relative liberté de circulation. Reste à se convaincre que l’aventure n’a pas d’autres limites que notre propre souffle.

Maya Andersson à l’Artothèque – Les arts au mur à Pessac

De Gainsborough à Turner au Musée de Valence à Valence

Etel Adnan à la Galerie Yvon Lambert à Paris

Trésors de l’Institut de France au Musée départemental de l’Arles antique à Arles

Manuela Marques par Sergio Mah à la Fondation Calouste Gulbenkian à Paris

S’il y a lieu je pars avec vous par Diane Dufour & Fannie Escoulen au Bal à Paris

Road trip au Musée des beaux-arts à Bordeaux

Messages envoy&AOk-s-4111
Anthony Friedkin, Clockwork Malibu, Rick Dano on the highway, 1977 – Collection Lacma Los Angeles county museum of art

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Ce verbe aux connotations catastrophiques peut pourtant s’envisager selon un angle tout autre. Faire ruine. L’effort farfelu consiste alors à tout fantasmer dans une version décrépie, à transformer le présent en un futur passé. Ce sentimentalisme du survivant, était il y a quelques siècles un critère ultime de beauté et trouve aujourd’hui une vigueur certaine. Pas nécessairement apocalyptiques, ces visions se positionnent plutôt après le déluge, lorsque règne le calme existentiel de ce qui reste. Paisibles, des pierres éparses s’évanouissent sur des sites, de préférence envahis par une végétation applaudie. Le fragment l’emporte sur le tout. L’immuable fait place à la finitude sublimée.

Maude Maris chez Christian Aubert – Moments artistiques à Paris

Hubert Robert au Musée de Valence à Valence

Vues par Coal au Château du Domaine départemental à Chamarande

Ruin lust à la Tate britain à Londres

Rallou Panagiotou à la Galerie Andreas Melas & Helena Papadopoulos à Athènes

Naturaliser l’architecture au Frac Centre – Fonds régional d’art contemporain à Orléans

Nina Canell au Camden arts centre à Londres

Messages envoy&AOk-s-3622

Maude Maris, Sans titre 4, 15x21cm, technique libre, papier japon, 2014 – Courtoisie de l’artiste et la galerie Isabelle Gounod, Paris

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

L’adjectif fait souvent sourire et il n’est pas évident à utiliser dans le langage courant, tant sa connotation cosmique est puissante. Mais la conquête de l’espace n’a pas toujours été sidérale et il faudra réussir à envisager cet épithète dans des proportions plus modestes. Mystère de la troisième dimension, la profondeur est ce qui éloigne ou rapproche de l’observateur. Elle sépare les plans et permet de penser la perspective, interrogation conceptuelle et picturale majeure de l’histoire de la représentation. Témoignant principalement d’installations tout en interrogeant la réalité tangible des autres médiums dans l’espace d’exposition, ce numéro présentera des plasticiens qui s’adressent de front à nos sens, négociant avec le vide et le plein.

Farah Atassi et Élodie Lesourd aux Églises à Chelles

Claude Lévêque à la Galerie des Galeries à Paris

Immersion par le Musée de Valence à l’Imprimerie Céas à Valence

Ann Veronica Janssens au Château des Adhémar à Montélimar

Fred Sandback à la WhiteChapel Gallery à Londres

Et si l’espace n’était qu’une dimension intérieure au Cac Abbaye Saint André à Meymac

Krijn de Koning au Musée des Beaux-Arts à Nantes

Le vertige physiologique résulte d’une différence de perception entre la vue et le système vestibulaire situé dans l’oreille interne. Nous retiendrons que ce trouble perceptif naît d’un conflit entre deux sources d’informations, entre ce que l’on voit et ce que l’on ressent. Cette notion est fortement associée à l’appréhension de l’espace et particulièrement celle du vide,  c’est-à-dire de l’espace nu, disponible, offert. Nous nous concentrerons cette semaine sur des propositions artistiques qui bousculent notre rapport à la spatialité en instaurant divers dispositifs de présentation ou de représentation.

Gregor Schneider  à la Maison Rouge à Paris

Permutations / 40 artistes – 01 musée vide au Musée de Valence

Geroges Rousse à la Galerie RX et à la Mep à Paris

João Paulo Serafim au Centre Culturel Calouste Gulbenkian à Paris

Philippe de Gobert  à la Galerie Aline Vidal à Paris

Patrice Ferrasse sur http://www.chez-robert.com

Richard Serra au Grand Palais et dans le Jardin des Tuileries à Paris