Le pire n’est peut-être pas ce que je crois. Il y a effectivement ce grand trou, cette caverne renversée qui m’effraie depuis des années et dont j’imaginais me protéger. Et puis le sol disparaît, que je saute ou qu’on m’ait poussé dans cette cavité horizontale. Concrètement, c’est la porte vers l’impossible. L’inenvisageable d’un coup existe. De toute évidence, c’est seulement une fois de l’autre côté, que l’abîme est interprété comme un simple passage. Le précipice m’a transformé. Son irrésistible magnétisme confère des qualités nouvelles. C’est beau.
James Turrell à la Pace Gallery à Londres
Dessins à la Galerie Antonine Catzeflis à Paris
Angélique Lecaille à la Galerie mélanieRio à Paris
Dark waters à la Galerie Chantal Crousel à Paris
James Hyde à la Galerie Les filles du calvaire à Paris
Oliver Beer au Mac – Musée d’art contemporain à Lyon
Laura Lamiel à la Galerie Marcelle Alix à Paris
Jean-Luc Moulène, Cristal vague, 28.5×39.5cm, crayon, papier, 2004 – Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Chantal Crousel, Paris